Hugues Le Berre, Les revirements de la jurisprudence en droit administratif de l’an VIII à 1998, 1999.
Grégoire Bigot, Introduction historique au droit administratif depuis 1789, 2002.
ders., La dictature administrative au XIXe siècle, Revue française de droit administratif 19 (2003), S. 218ff. und 435ff.
ders., Agrégé d'histoire du droit: Histoire du droit administratif du XIV e siècle à nos jours, 2010.
ders./Marc Bouvet (Hg.), Regards sur l’histoire de la justice administrative, 2006.
Gabriel Le Bras, Les origines canoniques du droit administratif français, L’évolution du droit public. Etudes offertes à Achille Mestre, 1956, S. 395ff.
François Burdeau, Histoire de l’administration française du 18e au 20e siècle, 1994.
ders., Histoire du droit administratif, 1995.
Sabino Cassese, La construction du droit administratif. France et Royaume-Uni, 2000.
Jacques Chevallier, L’élaboration historique du principe de séparation de la juridiction administrative et l’administration active, 1970.
ders. (Hg.), Le droit administratif en mutation, 1993.
Institut français des sciences administratives (Hg.), L’administration de la France sous la Révolution, 1992.
Pierre Legendre, Histoire de l’administration de 1750 à nos jours, 1968.
Jean-Louis Mestre, Un droit administratif à la fin de l’Ancien Régime, 1976.
ders., Introduction historique au droit administratif français, 1985.
ders., Le renforcement des prérogatives de l’administration sous le Consulat et le Premier Empire, Mélanges offerts à Pierre Montané de la Roque, Bd. 2, 1986, S. 607ff.
ders., Le contentieux administratif sous la Révolution française d’après des travaux récents, Jahrbuch für europäische Verwaltungsgeschichte 6 (1994), S. 281ff.
ders., Le traitement du contentieux administratif au XVIIIe siècle, La Revue administrative 1999, Sonderausgabe Le Conseil d’Etat avant le Conseil d’Etat, S. 83ff.
ders., Justice, administration et droit administratif, Annales historiques de la Révolution française 326 (2002), S. 61ff.
Marc Milet, L. Duguit et M. Hauriou, quarante ans de controverse juridico-politique (1889–1929), in: Herrera (Hg.), Les juristes face au politique. Le Droit, la Gauche, la Doctrine sous la IIIe République, 2003, S. 85ff.
Bernard Pacteau, Le Conseil d’Etat et la fondation de la justice administrative française au XIXe siècle, 2003.
Marcel Pinet (Hg.), Histoire de la fonction publique en France, Bde. 1 und 2, 1993.
Guy Thuillier, La Bureaucratie en France aux XIXe et XXe siècles, 1987.
Mathieu Touzeil-Divina, La Doctrine publiciste 1800–1880, 2009.
Katia Wiedenfeld, Les origines médiévales du contentieux administratif, 2001.
ders., Agrégée d'histoire du droit: Histoire du droit administratif du XIVe siècle à nos jours, 2010.
Einen mit vielen Referenzen versehenen Überblick über diese Studien gibt Albert Rigaudière zu Beginn seines Werks Penser et construire l’Etat dans la France du Moyen Age (XIIIe-XVe siècle), 2003, S. 1ff.
Siehe Rey (Hg.), Dictionnaire historique de la langue française, Bd. 1, 1998, S. 1321f. Ausführliche Bibliographie bei Denis Alland/Stéphane Rials, Dictionnaire de la culture juridique, 2003, S. 642ff. (zum Stichwort „Etat“, erstellt von Florence Poirat); vgl. auch Olivier Beaud, La puissance de l’Etat, 1994, und Éric Gojosso, Le concept de République en France (XVIe-XVIIIe siècle), 1998. Allerdings wird die Trennung der Konzepte von Staat und Monarch teilweise auf den Sturz Ludwigs XVI. zurückgeführt. Als für das französische Staatsverständnis des Ancien Régime aufschlussreich wird der berühmte apokryphe Ausspruch angesehen, der Ludwig XIV. zugeschrieben wird: „L’Etat c’est moi“ (siehe Bernard Vonglis, L’Etat, c’était bien lui, 1997, und ders., La monarchie absolue française, 2006).
Die „police“, die nach und nach von der Justiz getrennt wurde, erstreckte sich auf die Aktivität, die der Staat zur Steuerung des gemeinschaftlichen Lebens entfaltete, um die Ordnung, den Frieden und sogar das öffentliche Wohlergehen zu gewährleisten, insbesondere mittels der Reglementierung; siehe Bernard Durand,
