Transitions. Guido Pagliarino
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Guido Pagliarino
Transitions
Roman en deux parties
Traduction de l'italien vers le français par Kelly Priour
Ãdition française par Tektime © Guido Pagliarino 2017
1 ère Ãdition italienne en livre papier, en livre audio et en e-book, Svolte nel tempo , copyright © 0111 E dition i 2011-2013
(Cette première édition du roman eu le 1° Prix «Assoluto Creativa» 2012 section narrative éditée)
Depuis 2014 tous les droits littéraires, cinématographiques, télévisés, radio, internet et connectés à d'autres moyens de diffusion dans le monde entier, sont retournés à l'auteur.
2ème edition italienne, en e-book, Svolte nel tempo, copyright © Guido Pagliarino 2014
Lâimage de la couverture à été réalisés électroniquement par l'auteur
Les personnages, les noms personnels, les noms des entités publiques et privées, les événements, les situations collectives ou individuelles, du passé ou du présent, sont imaginaires. Les éventuelles références aux personnes vivantes ou qui vivaient, sauf les personnages historiques, sont involontaires. Les faits et les paroles attribués à ces mêmes personnages historiques sont inventés.
Indice
Guido Pagliarino, T ransitions, roman en deux partie s:
Première partie : âUnivers parallèlesâ
Deuxième partie : âPéché originelâ
Introduction de l'auteur à la première édition
Postface de l'auteur à la deuxième édition (Sur le mal dans le roman " Transitions")
Postface de Cristina Bellon (de son article paru dans le numéro 59 d u magazine âFuture Shockâ)
Postface de Antonio Scacco ( e xtrait de son article paru dans le numéro 60 de la revue âFuture Shockâ)
Première Partie : âUnivers parallèlesâ
Chapitre 1
Dans la salle du Mappemonde au Palais de Venise où se trouve le vaste bureau romain appartenant au chef du gouvernement et le téléphone réservé blanc, directement relié à seulement quelque excellents numéros, avait sonné. Il était 15 heures et 28 minutes du 13 juin 1933, XI de l'ère fasciste.
Benito Mussolini assis au bureau, avait levé le combiné de l'appareil, posé exactement à sa droite à côté d'un autre téléphone, noir, où la ligne passait par la centrale.
à l'autre bout de la ligne il y avait le docteur Arthur Bocchini, une figure puissante de la direction générale de la Sûreté Publique1 et, donc de la puissante et redoutable division de la police politique OVRA : la signification du sigle, pour intimider au mieux le public, n'a jamais été éclaircie, son appellation est peut-être Organe de Vigilance sur les Crimes Antiétatiques, mais sa fonction de tutelle suprême du régime fasciste était bien connue par tous.
«Duce, je vous2 salue : je suis Bocchini», il avait débuté.
«Dis- moi, Bocchini !» les appels téléphoniques du chef de l'OVRA étaient presque toujours porteurs de dérangements, si ce n'était pas des ennuis, et Mussolini subissait un certain battement au cÅur à entendre cette voix, et cherchait à cacher son émoi en utilisant un ton particulièrement impérieux.
Sans préliminaires, son locuteur lui avait déjà référé un fait extraordinaire : «Duce, ce matin un véhicule bizarre et inconnu est apparu dans le ciel de la Lombardie. Comme aujourd'hui le ciel est presque totalement couvert, cet appareil, qui est de forme inhabituelle, a disparu plusieurs fois entre les nuages, réapparaissant de temps en temps...»
«... et comment serait cette forme inhabituelle?»
«Le véhicule ressemble au disque d'un athlète lanceur».
«Alt ! Ãa ne serait pas un hélicoptère de l'ingénieur D'ascanio?»3
«Duce, on peut l'exclure, son dernier modèle était le fameux DAT 3 qui s'était décollé du sol d'à peine quelque mètres ; et puis, l'année dernière la Société D'ascanio-Troiani s'est