Récits champêtres: Le Secret de Marguerite ; La Moissonneuse ; Les Vanniers. Eugène Muller

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Récits champêtres: Le Secret de Marguerite ; La Moissonneuse ; Les Vanniers - Eugène Muller

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       Eugène Muller

      Récits champêtres: Le Secret de Marguerite ; La Moissonneuse ; Les Vanniers

      Publié par Good Press, 2021

       [email protected]

      EAN 4064066332181

      Table des matières

       RÉCITS CHAMPÊTRES

       LE SECRET DE MARGUERITE

       I LE MOULIN COUDRET

       II UN BEAU PROJET.

       III UN MANIAQUE

       IV TROP ÉTROITE CERVELLE, TROP LARGE CŒUR.

       V PATERNITÉ.

       VI RIEN DE FAIT.

       VII COMME LARRONS EN FOIRE.

       VIII UN MALIN.

       IX ENTRÉE EN CAMPAGNE.

       X . C’EST LA QUE GIT LE LIÈVRE.

       XI PARLEZ-EN A LA PETITE.

       XII PARLEZ-EN A LUC

       XIII. QUE VOUS DISAIS-JE?

       XIV PASSER N’EST PAS JOUER

       XV UN SERVICE D’ESTIME

       XVI SUFFIT!

       XVII RETRAITE ET DÉFECTION.

       XVIII OUS EN PRÉSENCE

       XIX AUJOURD’HUI

       II LA MOISSONNEUSE

       I

       II

       III

       IV

       V

       VI

       VII

       VIII

       IX

       X

       XI

       XII

       XIII

       XIV

       XV

       XVI

       III LES VANNIERS

      A MA FEMME

      C’est à toi, ma chère Eugénie, que fut d’abord confié le Secret de Marguerite, comme aussi celui de la Moissonneuse, et c’est toi qui donnas la première larme aux chagrins de mes pauvres vieux Vanniers; car c’est près de toi que naquirent ces drames intimes, dans cette maison où ton règne est béni, qui n’est fait que de tendresse et d’affectueuse sollicitude; au sein de la petite famille dont je te dois l’amour; en la douce et fortifiante paix, qui est chaque jour pour moi l’œuvre de ton excellent cœur.

      Je veux donc que ce livre soit, ou plutôt reste le tien.

      Tu le sais, je suis de ceux qui aiment encore à croire à la mission morale de l’écrivain, et qui tiennent à honneur de chercher le succès ailleurs que dans les fanges sociales ou dans les fièvres des âmes malsaines.

      J’ai toujours pensé que l’intérêt de la fiction pouvait résulter du simple choc des sentiments avouables, et que l’action ne perdait rien à se mouvoir dans un milieu accessible à tous les regards.

      Quelquefois déjà la sympathie des lecteurs m’a donné raison, pour avoir marché dans cette voie. Qu’adviendra-t-il de la nouvelle épreuve que je tente aujourd’hui? Je l’ignore. Mais j’ai confiance encore; puisque

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