les médecins n’ont pas be-soin de faire grande chose parce que l‘organisme s’occuperait de tout lui-même, tant que les maladies ne sont pas causées par une consommation mas-sive des poisons (mauvaise alimentation, pollution de l’environnement, des pro-duits chimiques) – ZEIT ON-LINE.
Souvent, il est même préférable que le médecin ne fasse rien et attende un peu, comme c'est le cas aux Pays-Bas.
Du même avis sont aussi les médecins Deborah Grady et Rita Redberg qui plaident dans la revue américaine Archives of Internal Medicine, pour moins de soins médicaux « parce que cela mène à une meilleure guérison. »
Une étude du centre médical Penn Medicine à Philadelphie a permis de dégager cinq règles avec lesquelles les médecins peuvent prendre des décisions plus avisées concernant le traitement de leurs patients. Trois d'entre eux commencent par l'instruction claire „Don’t over...“ –ne t’en fais pas trop, comme on peut lire plus loin dans l‘article.
Bien évidemment, cela ne veut pas dire que des ne doivent cesser de traiter ses patients en général, mais plus „gezielter“, indique le professionnel Gerlach, qui dit en plus :
« qu’on doit laisser d'abord le corps mobiliser ses propres mécanismes immunitaires. Le médecin ne doit pas intervenir immédiatement, mais laisser d'abord le corps faire le travail lui-même. Ce n'est pas un signe d'indifférence. Ici, l'accent est délibérément mis sur le facteur temps, afin que le corps puisse s'aider lui-même. »
Parce que derrière les moins de plaintes se cache une maladie grave. « Pour plus de la moitié des maladies aiguës, une visite chez le médecin de famille est inutile. Le corps se guérit le mieux », confirme Gerlach le savoir de la médecine africaine qui a été appliqué depuis des millénaires. La visite d’un naturopathe conclut souvent avec une chouette conversation et un sourire comme thérapie et médicament. On y écoute souvent : « Ne t’en fais pas y repars maintenant. »
Selon moi, le grand problème n’est pas seulement le comportement des médecins qui sont conditionnés de découvrir des maladies pour faire leur travail, mais aussi l’attitude des patients, alors de nous-mêmes. Il semble que beaucoup d‘eux sont heureux qu’on diagnostique une maladie chez ceux qui ne veulent pas croire que leur corps peut s’occuper lui-même des maladies ; qu‘ils veulent être traités et qu’on leur prescrit des médicaments.
« Ils veulent apporter quelque chose à la maison. Sinon ils craignent qu’ils ne valent rien pour leur médecin », dit Gerlach.
Beaucoup trop souvent et beaucoup trop tôt, nous allons chez les médecins ou aux cabinets médicaux. Selon la moyenne européenne du 06.07.2018 (https://de.statista.com/statistik/daten/studie/248308/umfrage/anzahl-der-arztbesuche-pro-kopf-nach-laendern/), les allemands par exemple, sont en tête avec 18 fois par an.
Malheureusement, c'est un record parmi les pays industrialisés. Ce n'est pas une bonne chose, car, comme le dit Gerlach : « La majorité de ces rencontres se terminent par l’ordonnance médicale », qui, en fait, n’aurait pas été nécessaire dans la plupart des cas.
Source : „Die Kraft der Selbstheilung“, www.zeit.de/zeit-wissen/2012/04/Koerper-Selbstheilung
Prends soin toi-même de ta santé : Guéris toi toi-même sinon personne ne te guérira
T’as peut-être déjà observé ce paradoxe : Les personnes, qui prennent souvent des médicaments, qui vont fréquemment chez le médecin, qui s’inquiètent beaucoup de leur santé, sont aussi les plus susceptibles d‘être malades. J’ai remarqué, par exemple, que les personnes qui ont souvent des migraines, prennent des comprimés contre le mal de tête, et les personnes qui les prennent rarement, ont rarement une migraine. N’est-ce pas mal et vraiment supide et idiotique ?
C’est étonnant, mais cette découverte montre, que ce ne sont pas les médicaments qui garantissent la protection de la santé mais qu’ils peuvent avoir l’effet inverse. Le véritable jardin médical est entre tes mains. Il réside en toi, dans toi et avec toi ; dans la façon dont tu t’occupes de toi, dans ton attitude envers la vie, dans la façon de te nourrir, dans ta façon de penser, si tu t’aime ou si tu te détestes etc.
Chaque personne peut déci-der elle-même dans quelle mesure elle veut affecter sa santé.
Cela signifie que, dans une certaine mesure, tu peux contribuer à la santé que tu as ou que tu auras, au type de maladies que tu peux éviter et, surtout, à la rapidité avec laquelle tu te rétablis si tu tombes malade.
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Lis et sois sain !
14 trucs et astuces banales, qui disent au revoir au médecin et à la pharmacie
Avec « Mangez sainement, faites de l‘exercice, reposez-vous, laissez à votre corps le temps dont il a besoin …» il n’y a pas d'argent à gagner. Notre santé est devenue un commerce, qui donne du travail aux docteurs, aux thérapeutes, aux journalistes et aux hôpitaux et qui enrichit surtout l’industrie. Et nous y contribuons nous-mêmes en croyant que seul le traitement médical chimique (des médicaments sont des produits fortement chimiques) pourrait nous aider.
Ce qui est pervers c’est : nous vivons de manière malsaine, nous mangeons et buvons de manière malsaine, nous pensons de manière malsaine, nous comportons de manière malsaine et ainsi nous construisons une industrie autour de nous,
