20 Histoires de Sexe. Gloria Hole

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20 Histoires de Sexe - Gloria Hole Sexe et désir

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style="font-size:15px;">      Maladroitement je lui expliquai que j’étais puceau et que je n’avais pas de préservatif. Elle m’a regardé avec des yeux pleins de tendresse en me redisant « fais-moi l’amour ».

      En quelques secondes je me débarrasse de mon tee-shirt, m’approche d’elle lui retire son haut, dévoilant une toute petite paire de sein (elle n’avait en effet pas de soutien gorge), un peu pendante mais très sexy (du moins à mes yeux) avec deux petits tétons dressés. Après quelques caresses, baisers et gémissements, je m’attaquai à sa jupe, me contentant de la remonter tellement j’étais pressé de voir ce qu’il y avait en dessous : une jolie culotte en dentelle légèrement transparente de laquelle dépassait des poils tout frisés blancs et gris. Je la retire et commence à embrasser son minou, tentant de faire comme dans les films mais avec beaucoup moins de succès. Les poils n’aidant pas forcément mais l’odeur très agréable et le gout salé me rendait fou et j’ai fait de mon mieux pour la contenter.

      Quand après une ou deux minutes, elle me tire un peu les cheveux pour me faire comprendre de monter et de la prendre. Elle met alors un coussin sous son dos et moi j’approche ma queue bien dressée en partant du bas et commence à appuyer. Aie, mauvais trou ! Je remonte un peu plus, ça bloque. Encore un peu plus haut, je sens l’humidité, j’appuye d’un coup sec et ça y est ça rentre ! Ma première fois, enfin ! Je suis dans une chatte. Plus étroit que ce que je m’attendais mais on y est bien, c’est à la fois chaud et humide. Je reste en suspens profitant du moment, regardant mon sexe enfoncé jusqu’à la base. Nos pubis ne font plus qu’un.

      Pauline ne dit rien, elle gémit un peu les yeux fermés ou mi-clos et commence à onduler légèrement du ventre.

      Je pourrais mentir en disant que ça a duré longtemps et qu’elle a joui plusieurs fois mais il n’en n’est pas. Ses mouvements avaient à peine commencer que je savais déjà que je ne durerai pas très longtemps. Elle a dû sentir mon trouble car avec gentillesse elle m’a dit « Va y fort ne t’en fais pas c’est ta première fois fais toi plaisir». Je ne me suis donc pas retenu et en la tenant par les hanches, j’ai donné plusieurs grands coups sous ses gémissements. Ses mains me caressant les tétons, le dos, le ventre pour exploser en elle quelques coups de bassin après. Même si l’effort n’avait pas duré si longtemps, j’étais épuisé. Je suis resté un peu en elle pendant que je débandais doucement puis nous nous sommes pris dans les bras pendant quelques minutes. Elle ne disant rien juste quelques petits gémissements et moi « merci » en lui caressant le corps. Corps usé par le temps mais que j’appréciais.

      C’était la première fois que je profitais du corps d’une femme et que c’était bon !

      Une inconnue dans le métro

      Le récit que je vous rapporte ici s'est produit ce printemps à Paris, à l'arrivée de la première vague de chaleur sur la France. Comme souvent dans ces conditions, chacun est ravi de se dévêtir après de trop longs mois d'hiver : les jupes courtes, robes sexy et petits hauts font le retour pour le plaisir de tous. Je trouve que l'on sent alors comme une vague d'excitation quasi palpable, certes plus masculine, mais pas exclusivement (les lectrices de cette histoire en attesteront peut être ;)). Les regards sont appuyés et des sourires coquins sont échangés. Ces attitudes sont d'autant plus présentes dans le métro parisien, en raison de la proximité.

      Ce matin là, je pars pour le boulot. Mon métro est assez plein et je sens monter en moi de fortes envies à mesure que je vois ces jambes fines, ces seins, ces nuques dévoilées devant moi. J'échange de petits regards avec d'autres voyageuses. Certaines n'apprécient pas et je n'insiste pas bien entendu. D'autres en revanche, sont flattées de se sentir désirées et me le rendent avec ces petits sourires que je mentionnais plus tôt. Après 20 minutes de trajet, je dois changer de ligne.

      Alors que je suis vraiment brûlant de désir en attendant le métro après toutes ces petites situations émoustillantes, une jeune fille arrive sur le quai. Elle a la trentaine comme moi, elle est black et, surtout, elle est incroyablement sexy. Elle porte une robe bleu turquoise qui lui arrive juste au dessus du genou et qui met en valeur son cul splendide (chacun son truc, moi ce sont les culs qui me rendent dingue : croyez moi que là, je suis servi). Et là, nos regards se croisent... Son regard n'est rien d'autre qu'un pur et violent appel au sexe... Des yeux de chatte ! Je lui rend bien, et nous nous sourions immédiatement. Nous gardons cependant quelques mètres de distance. Quand le métro arrive, elle s'approche et rentre dans le wagon par la même porte que moi. Je suis alors quasi persuadé que la demoiselle veut plus que de simples regards ! Elle me dépasse, je la suis et m'assois à côté d'elle. Je rapproche ma jambe de la sienne, et elle répond instantanément par de petits mouvements. Impossible de m'y méprendre à présent, on est en phase ! Après un court moment passé à nous caresser les jambes, je prends alors mon sac est le place de façon à nous cacher des femmes qui nous font face, pour ne pas mettre mal à l'aise ma délicieuse inconnue. Je glisse alors ma main sur sa cuisse. Sa peau est douce, sensuelle. Elle écarte presque instantanément ses jambes, de façon à me laisser plus de liberté. Je continue à la caresser, remontant peu à peu vers son entre jambe... Une de nos voisines se lève alors et change de siège : nous nous sommes complètement oubliés et elle a dû se sentir un peu de trop ! Pas du tout refroidi, je continue ma progression mais, elle m'arrête juste avant que je ne puisse sentir sa chatte. Je la regarde : d'un sourire, elle me désigne notre deuxième voisine qui ne sait visiblement plus où se mettre non plus !

      Son arrêt arrive rapidement (j'ai raté le mien depuis longtemps ;)). Alors qu'elle passe devant moi pour descendre, je remarque qu'elle a oublié son sac : je l'att**** et descends pour le lui rendre. Elle m'a avoué après n'avoir absolument pas fait exprès ; son imaginaire l'avait emmenée bien loin, et moi avec ! Je lui propose de prendre un café et elle accepte. Nous discutons rapidement de nos vies. J'apprends notamment qu'elle est mariée, qu'elle est

      Martiniquaise et qu'elle s'appelle Alisée. Elle travaille juste à côté et nous décidons d'aller nous balader avant qu'elle n'embauche. On s'arrête une première fois sur un banc d'une grosse artère parisienne, mais on touche à l'intimité zéro. Nous trouvons finalement une petite rue et nous asseyons sur le rebord d'un bac de plantes. Notre discours change subitement : je lui dit qu'elle est superbe. Elle me réponds que je suis pas mal non plus (ça fait toujours plaisir, qu'en pensez-vous mesdames ?). Je lui dit que ses jambes m'ont rendu fou et je recommence à écarter sa robe (en portefeuille, ce qui me permet de ne pas la mettre totalement nue dans la rue). Je remonte jusqu'à son cul, que je peux enfin saisir à pleine main et à même la peau car elle porte un tout petit string. Elle sourit mais semble un peu intimidée (il est tout de même environ 10h, un jour de semaine en plein Paname !). Elle me demande ce que je veux. Je lui réponds "ça", en repassant par dessus sa cuisse et en lui caressant doucement sa chatte à travers ses sous-vêtements. Elle soupire "Arrête, pas ici", mais ne fais rien pour s'opposer à mes doigts. Elle est complètement trempée, je n'ai jamais, mais vraiment jamais, vu ça chez une femme... Un homme s'approche au loin et je dois me dégager. Elle reprend ses esprits et m'embrasse à pleine bouche, laissant exploser son envie.

      Alisée me dit qu'elle doit absolument aller bosser. Je tente de l'en dissuader en ressaisissant son cul et en lui murmurant que nous avons bien mieux à faire. Je sais me montrer persuasif et lui propose de trouver un hôtel. Elle accepte sans hésitation. Elle vérifie que j'ai des capotes : en homme prévoyant, j'en ai toujours sur moi ! Nous cherchons alors un hôtel dans le quartier et ne tardons pas à trouver. Le trajet qui nous y mène n'est que caresses : elle passe pour la première fois sa main sur ma queue. Je vous laisse imaginer la gaule que j'ai... Laissez moi vous dire que mon jean a été mis à dure épreuve ;) On ne peut toutefois pas se laisser aller, car son boulot est dans le coin.

      Arrivés à l'hôtel, le temps de remplir les

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