20 Histoires de Sexe. Gloria Hole
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J’ai commencé à sortir avec lui et puis un jour, je suis allé à l’hôtel avec lui et quand je lui ai sucé la bite, je lui ai demandé ce que c’est que ce tatouage sur son pénis. Il m’a répondu que c’est mon prénom et, effectivement, quand il a été en érection… Je lui ai dit que je ne me ferai jamais tatouer mais je n’ai pas tenu parole car si vous soulevez mon sein gauche, vous verrez le prénom de mon mari. Nous avons fait l’amour et je me suis rendu compte que Didier était plus performant que pendant nos partouzes. Je n’ai rien à lui reprocher parce que ce jour-là, il m’a prise de main de maître puis il m’a emmenée voir ses parents et je suis restée bouche bée quand Didier m’a demandé si ça me plaira.
- Vous êtes riches, je lui ai fait !
Didier rm’a répondu que je n’ai qu’un mot à dire et ce mot, je n’allais pas tarder à le dire devant le maire mais en attendant, il fallait que je présente mon fiancé à mes parents. Peu avant notre mariage, je lui ai suggéré de faire une soirée comme nous aimions tant les faire et il n’a pas hésité et nous avons pu rencontrer tous nos anciens partenaires ou presque et aussi Leslie qui était encore enceinte et ce soir-là, c’est moi qui invitais. Alors qu’il se faisait sodomiser et que je me faisais enculer par un autre, j’ai dit à Didier que c’est la dernière fois qu’on s’amuse et il m’a répondu qu’il ne veut que mon bonheur. Sur les cinq heures du matin, la petite fête s’est terminée.
Leslie m’a remerciée puis elle a ajouté qu’elle va sans doute aller directement à la clinique pour accoucher. Je suis rentrée chez moi. A la porte de mon immeuble, il y avait un type assis sur les marches et que j’avais déjà vu.
- Une passe, m’a-t-il demandé ?
Je l’ai regardé et j’ai éclaté de rire et je lui ai dit que je me marie samedi.
- Pourquoi pas, m’a fait le type ?
Je lui ai dit de me suivre. On s’est déshabillés et il m’a regardé attentivement puis il m’a dit que j’aime me faire enculer et c’est ce qu’il a fait. Après, je lui ai offert le petit-déjeuner et il a disparu. L’après-midi, je suis allée chercher ma robe de mariée. Il n’y avait que la vendeuse dans la boutique. Quand elle a suggéré de faire un dernier essayage, je ne me suis pas méfiée car, une fois nue dans la cabine la fille est entrée et elle m’a dit qu’elle est amoureuse de moi puis elle m’a embrassée sur la bouche et j’ai fait l’amour avec elle.
Après le mariage, j’ai emménagé avec mon mari dans la propriété de ses parents mais j’avais du mal à m’y faire si bien qu’il n’a pas refusé quand j’ai proposé qu’on reprenne nos soirées et maintenant, deux fois par mois, on s’amuse à nouveau avec Leslie, son demi-frère et tous ceux qui ont participé à nos régates et mon gros ventre, je le dois à mon mari et pas à un autre.
Un moment avec Margot
Il y a de cela quelques années traversant une période de célibat, il m'arrivait de fréquenter un quartier bien connu de Paris ou des dames vendent du plaisir.
En ce début d'après-midi d'une belle journée printanière, j'était venu dans ce quartier avec la ferme intention d'en repartir soulagé après presque une semaine d'abstinence. Je parcourais d'abord la rue Blondel ou j'avais déjà eu l'occasion à plusieurs reprises de monter avec des Dames qui m'avaient laissé un agréable souvenir et avec qui pour certaines j'avais renouvelé l'expérience..... Ce jour là beaucoup de visages connus mais aucune de ces quelques perles rares ..... Avant que je n'apperçoive Louise, une très grande black au corps sculptural avec un fessier de folie qui malheuresement pour moi rentrait dans son immeuble suivi d'un client. J'ai ensuite pris la rue St Denis vers les Halles puis demi-tour arrivé rue Reaumur, je remontais la rue trottoir de gauche . Arrivé pas très loin de la rue Blondel , j'apperçu Margot discutant avec une de ses collègues juste en face de l'entrée de l'immeuble dans lequel se trouvait son studio.
Margot était souvent vêtue de blanc, ce jour là elle portait une coute jupe blanche, une veste de même couleur avec un col et les poignets en fourrure, bas et bottes pour les jambes. C'est une femme d'environ 45 ans très brune au teint mat, pas magrébine, plutôt méditéranéene et assez souriante. je l'abordais poliment, je ne sais pas si elle me reconnu, la négociation fût très basique, ce n'est pas quelque chose que j'aime faire dans la rue.
Je la suivait dans l'immeuble puis dans les escaliers où sa jupette me laissait voir sa culotte de même couleur que le reste. derrière nous sa collègue accompagnée d'un client nous suivait . Pendant la montée des deux ou trois étages les deux femmes continuaient leur discution comme si nous n'étions pas là .
Un studio, relativement grand et lumineux pour le quartier, un grand lit à gauche, des miroirs un peu partout, deux ou trois chaises, dans un coin un lavabo et un bidet, une commode sur laquelle était disposés quelques sextoys mais pas d'instrument SM comme des cravaches ou des menottes ..... négociations plus détaillées cette fois, je paie et l'on commence à se dévetir. Elle n'avait gardé que ses bas et m'a demandé si je souhaitais qu'elle mette ses bottes, offre que j'ai déclinée. Environ 1m60 un corps mince le ventre plat, Margot a des petits seins pas très fermes pour leur volume des auréoles très sombres et les tétons qui pointent, un joli petit cul. La toison publienne est généreuse mais taillée court . Nu moi aussi je commence à bander .
Comme prévu on commence par un cunni dont je suis particulièrement friand et dont assez peu de dames du quartier acceptent la pratique. Margot s'allonge au milieu du lit cuisses ouvertes, je m'installe la tête entre. Son sexe est de ceux qui laissent dépasser les petites lèvres charnues. Je passé plusieurs minutes à lecher sa fente du haut en bas en aspirant les lèvres et le capuchon. Elle ne simule pas reste passive et peu expressive, je le savais cela ne me surprends pas et ne me derange pas non plus.... Je descends à plusieurs reprises jusqu'à l'entrée vaginale sans chercher à y pointer la langue pas plus qu'un doigt chose qu'elle refuse de même que la zone anale est interdite de toute approche . Au bout d'un moment elle repouse gentillement mon visage et annonce que nous allons passer à la suite. elle se lève prend un preservatif sur la commode, le sort de son étui. je suis allongé, agenouillée sur le lit elle prends dans une main ma bite déjà bien raide puis décalotte le gland au maximum, avec l'autre elle dispose la capotte et la déroule sur toute la longeur du sexe. Commence une fellation assez mécanique, il faut bien le reconnaitre.... elle suce surtout le bout en branlant le tout avec sa main droite, on est très loin d'une bouffeuse de bite. de toutes façons dans mon état la pipe est plus une formalité qu'une nécessité, je rappelle qu'il y plusieurs jours que je n'ai pas éjaculé.
Elle s'installe ensuite sur moi, elle n'ajoute pas de gel et j'apprécie, certaines prostituées en mettent vraiment beaucoup trop .....La chevauchée est bien rythmée et profonde. C'est une de ses qualities, Margot se laisse pénétrer profondément sans jamais se soustraire au coup de butoirs qui la premplissent. Dans cette position c'est elle qui gére mais elle fait en sorte que presque tout le membre coulisse dans son vagin, je lui pince doucement les tétons elle ne proteste pas bien que je sois sûr qu'elle préfèrerait que je m'abstienne. Ma cavalière reste toujours muette ou presque, à peine quelque très légers gémissements. Moi j'apprécie et je commence à ne plus pouvoir rester silencieux . après avoir astiquer un bon moment dans cette position elle se lève et se retourne. Accroupie cette fois ses fesses vont et viennent sur ma queue tendue. La vue de son petit cul et de sa chatte dilatée par ma bite est vraiment très excitante, trop, je dois l'arrêter si je veux profiter de la suite du programme. Il n'y a pas d'extra-balle rue Saint Denis ..... Elle est maintenant allongée sur le dos cuisses