Œuvres Complètes de Frédéric Bastiat, tome 2. Bastiat Frédéric

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Œuvres Complètes de Frédéric Bastiat, tome 2 - Bastiat Frédéric

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les journaux, et appréciation de divers faits; – 4o discours publics; – 5o variétés et nouvelle série de sophismes économiques.

(Note de l'éditeur.)

2

L'année suivante, l'auteur commentait ainsi cette phrase:

«Est-il possible de penser de même sur la liberté commerciale et de différer en politique?»

Il nous suffirait de citer des noms d'hommes et de peuples pour prouver que cela est très-possible et très-fréquent.

Le problème politique, ce nous semble, est celui-ci:

«Quelles sont les formes de gouvernement qui garantissent le mieux et au moindre sacrifice possible à chaque citoyen sa sûreté, sa liberté et sa propriété?»

Certes, on peut ne pas être d'accord sur les formes gouvernementales qui constituent le mieux cette garantie, et être d'accord sur les choses mêmes qu'il s'agit de garantir.

Voilà pourquoi il y a des conservateurs et des hommes d'opposition parmi les libre-échangistes. Mais, par cela seul qu'ils sont libre-échangistes, ils s'accordent en ceci: que la liberté d'échanger est une des choses qu'il s'agit de garantir.

Ils ne pensent pas que les gouvernements, n'importe leurs formes, aient mission d'arracher ce droit aux uns pour satisfaire la cupidité des autres, mais de le maintenir à tous.

Ils sont encore d'accord sur cet autre point qu'en ce moment l'obstacle à la liberté commerciale n'est pas dans les formes du gouvernement, mais dans l'opinion.

Voilà pourquoi l'Association du libre-échange n'agite pas les questions purement politiques, quoique aucun de ses membres n'entende aliéner à cet égard l'indépendance de ses opinions, de ses votes et de ses actes.»

Extrait du Libre-échange, du 14 novembre 1847.

(Note de l'éditeur.)

3

M. Billault, récemment ministre de l'intérieur, a plusieurs fois émis comme avocat et comme représentant, des vues protectionnistes. (V. tome IV, pages 511 et suiv.)

(Note de l'éditeur.)

4

À cette époque, le journal la Presse n'était pas encore converti au principe de la liberté.

(Note de l'éditeur.)

5

V. ci-après, no 44, la fin du discours prononcé à la salle Taranne, le 3 juillet 1847.

(Note de l'éditeur.)

6

V. au tome IV, pages 327 et 342, les pamphlets l'État, la Loi; et dans les Harmonies, le chap. XVII.

(Note de l'éditeur.)

7

La lettre adressée au conseil des ministres, et signée de MM. A. Odier, A. Mimerel, J. Périer et L. Lebeuf, finissait par cette menace: «Ne faites jamais que vos ennemis soient armés par ceux qui veulent toujours contribuer avec vous à la prospérité du pays.»

Quant au placard, en voici quelques phrases:

«Ils (les libre-échangistes) semblent ne pas s'apercevoir que, par là, ils travaillent à ruiner leur pays et qu'ils appellent l'Anglais à régner en France…

«Celui qui veut une semblable chose n'aime pas son pays, n'aime pas l'ouvrier.»

(Note de l'éditeur.)

8

V. tome III, pages 30 et suiv.

(Note de l'éditeur.)

9

C'est l'exemple qu'ont donné M. Nicolas Kœchlin, M. Bosson de Boulogne, – M. Dufrayer, M. Duchevelard, agriculteurs, ainsi que les armateurs de Bordeaux et de Marseille.

10

V. les chapitres Responsabilité, Solidarité, dans les Harmonies.

(Note de l'éditeur.)

11

Naturellement, la chambre de commerce avait repoussé de telles avances.

(Note de l'éditeur.)

12

Voir le chap. VI de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, tome V, page 356.

(Note de l'éditeur.)

13

V. Harmonies, chap. XX.

(Note de l'éditeur.)

14

V. le chap. VII de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, tome V, page 363.

(Note de l'éditeur.)

15

V. le chap. Échange, tome VI.

(Note de l'éditeur.)

16

V. au tome IV, le chap. XXI, page 105.

(Note de l'éditeur.)

17

Il n'est pas inutile de faire remarquer ici qu'en France les propriétaires, dès 1818, jetaient de hauts cris contre l'avilissement ruineux du prix du blé. La loi du 21 juillet 1821, faite sous leur influence, avait la prétention de fixer le taux de 20 à 24 francs. De quelque façon qu'on l'explique, toujours est-il qu'elle trompa cruellement les espérances des agriculteurs. Voici le cours officiel du blé pendant les quatre années qui ont suivi la loi:

18

On se rappelle que le Constitutionnel, après avoir énuméré toutes les raisons qui selon lui font un devoir au ministère de ne pas laisser entrer le blé étranger, terminait ainsi son article: «Cependant, si malheur arrive, nous serons vos plus terribles accusateurs!»

19

La circonstance indiquée par les mots soulignés fait le fond du débat entre le libre-échange et la restriction. (V. ci-après nos 56 et 57.)

20

Sur la souveraineté de l'opinion, voyez tome IV, pages 132 à 146.

(Note de l'éditeur.)

21

V. ci-après, no 46, le second discours prononcé à Lyon, et, au tome VI, le chap. XIV.

(Note de l'éditeur.)

22

V. tome III, pages 438 et suiv.

(Note de l'éditeur.)

23

L'auteur reconnut bientôt que quelques-unes des adhésions qu'il enregistre ici n'étaient ni solides ni complètes.

(Note de l'éditeur.)

24

V. les chap. XIV et XVIII du tome IV, pages 76 et 94.

(Note de l'éditeur.)

25

Voir notamment le no 3, page 7.

(Note de l'éditeur.)

26

V. sur la balance du commerce, tome IV, page 52, et tome V, page 402; puis le chap. Échange, tome VI.

(Note de l'éditeur.)

27

V. tome IV, page 275, le pamphlet Propriété et Loi, et tome VI, le chapitre Propriété, Communauté.

(Note de l'éditeur.)

28

V. Harmonies, chap. XX et XXI.

(Note de l'éditeur.)

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