Tu Es À Moi. Victory Storm

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Tu Es À Moi - Victory Storm

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avec uneindignation feinte.

      Sans croire à cette scène de jalousie, il me demanda, “Queveux-tu, Danielle ?” Le fait était que le masque de glace quej’arborais habituellement, me montrant insensible et détachée detout, ne rendait pas crédible cette scène digne d’un feuilletonsentimental.

      “C’est toi que je veux”, murmurai-je, le fixant du regard etposant mes lèvres sur les siennes avec impétuosité. Ce fut unbaiser rageur, tout ce que j’éprouvais à cet instant… Rage d’avoirdû coucher avec lui, rage de devoir mentir au quotidien, alorsqu’au fond de moi je n’aspirais qu’à accéder à ses ressourcesillimitées et m’approprier ses contacts, avant de disparaître enfindans le néant.

      “Alors mets-toi à genoux et suce-moi”, me défia-t-il, tout encontinuant à me palper de ses mains.

      “Je ne suis pas ta pute !” râlai-je énervée, parce que jen’étais pas parvenue à lui soutirer une bribe d’information, ainsiqu’à cause de sa façon de me manipuler et provoquer ma jouissancecontre ma volonté.

      “Que se passe-t-il, Danielle : tu n’es plus disponible ? Cettefois tu ne dois pas me distraire comme lorsque que je t’avaissurprise à fourrer ton nez dans ce qui ne te regardait pas”, mesouffla-t-il à l’oreille et, me saisissant par les cheveux, ilapprocha mon visage du sien.

      Je me mordis les lèvres d’inquiétude et d’énervement.

      Il m’avait surprise alors que j’étais à un doigt de savoir quiétait son contact. Je me rappelais très bien cet épisode, troisjours auparavant dans cette même pièce…

      Ma couverture allait sauter d’une minute à l’autre, j’avais lula suspicion dans les yeux d’Aleksej et j’avais compris que j’avaiscommis une erreur impardonnable.

      La seule issue pour ne pas être chassée et perdre tout ce quej’avais fait pour parvenir jusque-là fut de l’embrasser et de luioffrir ce qu’il désirait depuis le jour de notre premièrerencontre.

      Je m’étais faite baiser contre la bibliothèque située à troispas de là.

      À un certain point il m’avait attachée avec des cordes etm’avait suspendue à un crochet qui dépassait en haut de labibliothèque.

      Consciente qu’il me mettait à l’épreuve, je m’étais laisséefaire.

      J’étais parvenue à ne pas bouger un seul muscle malgré laterreur qui, telle un venin mortel, envahissait toutes les fibresde mon corps.

      Je m’étais faite prendre à ses conditions, sans réagir à sesmanières brusques et sauvages.

      A ce moment précis je sentais qu’il allait agir de même.

      J’aurais voulu me retirer, sachant qu’au fond il aurait acceptéparce qu’il était un gentleman. Mais ses insinuations me pesaient,telle une épée de Damoclès suspendue au-dessus de ma tête, donc jele laissai faire.

      “Tu me déçois, Aleksej. Tu ne fais pas la différence entre unefemme qui veut baiser avec toi et une qui veut te rouler”, leprovoquai-je, consciente de signer mon arrêt de mort.

      “Tu as besoin d’une bonne leçon”, murmura-t-il d’une voixrauque, me penchant sur le bureau.

      Il me maintint fermement par les cheveux, tandis que de l’autremain il relevait ma jupe et baissait son pantalon avant d’arracherdéfinitivement ce qui me restait de lingerie intime.

      Il me fit écarter les jambes et, avant que je puisse meredresser, je le sentis me pénétrer d’une poussée puissante, meremplissant au-delà de ce que je m’imaginais.

      Je hurlai d’effroi.

      Je m’efforçai de me rebeller mais, plus je me débattais, plusson membre me pénétrait furieusement et en profondeur.

      “J’adore le fait que tu sois toujours si humide etaccueillante”, murmura-t-il d’une voix grave, pendant qu’ilaccélérait ses mouvements.

      Je haïssais ses paroles parce qu’elles disaient la vérité.Personne ne m’avait jamais baisée de cette façon et, bien que je leméprisasse, il me soumettait et me faisait sentir inférieure à lui.La chose me plaisait et, au fond, m’excitait bien plus que je nel’aurais jamais cru.

      Subitement je sentis ses mains parcourir mes flancs jusqu’àparvenir à mes seins qui dépassaient du décolleté.

      Je ne pouvais pas le voir, mais je sentis ses doigts pincer mestétons et les triturer jusqu’à les rendre turgescents et gonflés,me provoquant une gêne agréable quand ils frottaient contre le boisdu bureau à chacune de ses poussées.

      “Aleksej”, murmurai-je, en proie à un désir incontrôlable,tandis que lui, ramenant ses mains sur mes flancs, les glissaitentre mes cuisses jusqu’à atteindre mon petit bouton auquel ilprodigua le même traitement qu’à mes tétons.

      En quelques secondes mon corps se contracta sous les spasmesd’un orgasme qui me frappa avec la violence d’une tempête.

      “Assez, je t’en prie”, le suppliai-je, sentant mon corps secontracter autour de son pénis qui continuait à fourailler dans monvagin et ses mains qui n’arrêtaient pas de me titiller.

      “C’est moi qui décide quand arrêter”, m’avertit-il d’une voixdure et inflexible. “Je veux que tu jouisse à nouveau”.

      “Je n’en peux plus”, haletai-je, tandis que mon corps selaissait emporter à nouveau entre les mains d’Aleksej.

      À un certain point, je le sentis venir en moi.

      Je soupirai de satisfaction, espérant que cette torture allaitprendre fin. Mais je me retrouvai encore poussée vers l’avant, unede ses mains sur mon sein et l’autre au niveau du clitoris.

      Excitée par son orgasme qui palpitait encore à l’intérieur demoi et par ses doigts qui glissaient entre mes cuisses, un nouvelorgasme me traversa en profondeur.

      “C’est bien, ma petite babouchka”, dit-il en souriant, me libérant de soncorps.

      Je me rhabillai précipitamment, essayant d’effacer de ma mémoirece que nous venions d’accomplir.

      Le string était irrécupérable, donc je le jetai.

      Sur ces entrefaites, Aleksej ouvrit un tiroir de son bureau eten sortit une petite boîte qu’il me tendit.

      “Qu’est-ce que c’est ?”, demandai-je en m’asseyant sur sesgenoux.

      “Ouvre-la.”

      J’obéis et trouvai à l’intérieur une bague en or blanc, sertiede diamants. La pierre au centre était un diamant taille brillant,entourée de deux gouttes d’eau en diamant. C’était une bagueexceptionnelle, la plus belle qu’il m’eût été donné de voir.

      “Qu’est-ce que ça veut dire ?”

      “À toi de voir.”

      “Je ne suis pas une putain”, clarifiai-je, enfilant la bague àmon annulaire droit avec une certaine avidité.

      “Je n’ai jamais dit qu’il s’agissait

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