Histoire amoureuse des Gaules; suivie des Romans historico-satiriques du XVIIe siècle, Tome IV. Bussy Roger de Rabutin

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Histoire amoureuse des Gaules; suivie des Romans historico-satiriques du XVIIe siècle, Tome IV - Bussy Roger de Rabutin

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      Le duc de La Feuillade (note de l'édit. de 1719). – Il était mort subitement dans la nuit du 18 au 19 septembre 1691, et non le 12 mai 1697, comme on l'a dit dans une récente édition de cette «histoire». – Voy. Dangeau, t. III, pp. 400-402.

      2

      Voy. la Préface, en tête de ce vol.

      3

      Voy. la Préface.

      4

      Voy. passim et à la table.

      5

      Voy. la Préface, en tête de ce vol.

      6

      Voy. t. II, pp. 74, 400, et à la table. – On connaît la fanatique adoration du duc de La Feuillade pour Louis XIV; quant à ses complaisances en fait d'amour, le Roi, qui avoit peu de sympathie pour lui, ne lui auroit pas fait l'honneur de les lui demander ou de les accepter.

      7

      Jusqu'à la folie.

      8

      Nous sommes en 1672, époque des dernières couches de la Reine, et jusque-là, en effet, les armes de Louis XIV n'avaient pas encore connu les revers qui devaient attrister la fin du règne. – Voy. plus loin, p. 31, note 16.

      9

      D'abord, immédiatement.

      10

      Rendez-vous.

      11

      Richelet traduit: «Blanchir, faire des efforts inutiles.» – Furetière dit: «Blanchir se dit des coups de canon qui ne font qu'effleurer une muraille, et y laissent une marque blanche. En ce sens on dit au figuré de ceux… dont tous les efforts sont inutiles que tout ce qu'ils ont fait, tout ce qu'ils ont dit n'a fait que blanchir.»

      12

      Des cabinets de verdure.

      13

      Le texte dit: sujet. —Succès, issue, résultat.

      14

Voici ce qui se passait au lever du Roi; nous traçons ce tableau en nous guidant sur l'Etat de la France auquel nous avons emprunté tous les noms du quartier, du trimestre de janvier: – Le Roi s'éveille. Aussitôt M. de Chamarande, chevalier de Saint-Michel, qui, en sa qualité de valet de chambre, était couché sur un lit étendu à terre au pied de celui du Roi, s'approche de Sa Majesté pour lui présenter sa robe de chambre et lui donner de l'eau si elle en demande. Le Roi voulant s'habiller, un garçon de la chambre va avertir à la garde-robe pour faire apporter les habits dans la toilette. – Le Roy s'assied alors sur son fauteuil; le sr Roze, premier valet de garde-robe, qui a pris les chaussons dans le coffret, en donne un au premier valet de chambre qui prend la droite et le laisse à gauche pour habiller Sa Majesté. Un simple valet de garde-robe, le sr de Lissalde, leur présente alors le bas de soie qu'il a pris soin d'attacher au caleçon. Alors chacun d'eux aide de son côté à chausser et vêtir le Roi, s'il n'aime mieux le faire lui-même, ce qui arrive le plus souvent. Ensuite six des pages de la chambre attachés au service du gentilhomme de la chambre qui est en fonctions, non plus ce trimestre mais cette année, le duc de Saint-Aignan, ont le privilége de présenter les mules à Sa Majesté. Cela fait, le Roi prend son haut-de-chausses des mains d'un valet de garde-robe qui lui apporte premièrement des canons ou des petits bas s'il désire en porter: le canon est cet ornement de dentelle qui s'attache au-dessous du genou, au bas du haut-de-chausses; les petits bas ou bas à étrier sont des bas qui ne couvrent que la jambe, et s'arrêtent à la cheville. Le Roi met-il des souliers? le valet les lui noue; des bottes? le valet les lui présente ou les lui met; mais l'honneur de donner les éperons est réservé à M. Nicolas Le Febvre, sieur de Bournonville, écuyer de service.

      Voilà le Roi chaussé. Un valet de garde-robe tient la chemise du Roi et la présente d'abord à un prince du sang; en cas d'absence, au duc de Bouillon, grand chambellan, au duc de Saint-Aignan, l'un des quatre premiers gentilshommes, ou enfin à M. le marquis de Guitry de Chaumont, l'un des deux maîtres de la garde-robe. Le Roi ôte alors sa chemise de nuit et met celle qu'on lui donne. Les huissiers, qui sont entrés dans la chambre royale dès que Sa Majesté a eu pris sa robe de chambre, et qui se tiennent à la porte pour l'ouvrir ou la fermer, ce que nul autre ne peut faire, demandent alors au grand chambellan ou à celui des quatre premiers gentilshomme

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Le duc de La Feuillade (note de l'édit. de 1719). – Il était mort subitement dans la nuit du 18 au 19 septembre 1691, et non le 12 mai 1697, comme on l'a dit dans une récente édition de cette «histoire». – Voy. Dangeau, t. III, pp. 400-402.

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Voy. la Préface, en tête de ce vol.

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Voy. la Préface.

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Voy. passim et à la table.

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Voy. la Préface, en tête de ce vol.

6

Voy. t. II, pp. 74, 400, et à la table. – On connaît la fanatique adoration du duc de La Feuillade pour Louis XIV; quant à ses complaisances en fait d'amour, le Roi, qui avoit peu de sympathie pour lui, ne lui auroit pas fait l'honneur de les lui demander ou de les accepter.

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Jusqu'à la folie.

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Nous sommes en 1672, époque des dernières couches de la Reine, et jusque-là, en effet, les armes de Louis XIV n'avaient pas encore connu les revers qui devaient attrister la fin du règne. – Voy. plus loin, p. 31, note 16.

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D'abord, immédiatement.

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Rendez-vous.

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Richelet traduit: «Blanchir, faire des efforts inutiles.» – Furetière dit: «Blanchir se dit des coups de canon qui ne font qu'effleurer une muraille, et y laissent une marque blanche. En ce sens on dit au figuré de ceux… dont tous les efforts sont inutiles que tout ce qu'ils ont fait, tout ce qu'ils ont dit n'a fait que blanchir.»

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Des cabinets de verdure.

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Le texte dit: sujet. —Succès, issue, résultat.

14

Voici ce qui se passait au lever du Roi; nous traçons ce tableau en nous guidant sur l'Etat de la France auquel nous avons emprunté tous les noms du quartier, du trimestre de janvier: – Le Roi s'éveille. Aussitôt M. de Chamarande, chevalier de Saint-Michel, qui, en sa qualité de valet de chambre, était couché sur un lit étendu à terre au pied de celui du Roi, s'approche de Sa Majesté pour lui

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