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M. et Mme Viardot.
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L'Opéra de Berlin.
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Il s'agit évidemment des compositions de musique de Mme Viardot.
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Allusion à la fameuse revue russe
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La fille aînée de Mme Viardot, devenue plus tard Mme Heritte.
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La langue allemande.
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Probablement ses premiers
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Mme Garcia, mère de Mme Viardot.
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Cousine germaine de Mme Viardot. Cantatrice, élève, je crois, de M. Manuel Garcia, frère de Mme Viardot.
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Le frère de Mme Garcia, mère de Mme Viardot.
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M. Manuel Garcia.
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Fils d'un médecin fameux de l'époque.
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L'auteur de:
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Critique russe, ami de Tourgueneff et plus tard son exécuteur testamentaire.
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Allusion aux superstitions populaires russes qui veulent qu'on crache lorsqu'on constate la bonne santé d'une personne.
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M. Garcia, le frère de Mme Viardot, artiste renommé, comme toute la famille Garcia, inventeur du laryngoscope.
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Jeu de mots expliqué par les ratures assez nombreuses de cette partie de la lettre.
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Romancier, ou plutôt auteur de nouvelles, devenu plus tard célèbre.
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Une phrase en espagnol, une en allemand et une en russe contenant le même souhait; la dernière, en caractères russes, signifie: «Portez-vous bien et souvenez-vous de nous.»
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Louis Viardot traduisit en effet, en collaboration avec l'auteur, plusieurs des nouvelles de Tourgueneff, notamment les
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Savant naturaliste allemand.
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La famille du général comte Serge Kaminsky, fils du maréchal russe qui servit en qualité de volontaire dans l'armée française en 1758 et 1759. Le comte Serge avait habité Orel, ville où est né Tourgueneff.
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D'espagnol.
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Probablement
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Poète et militant politique allemand qui, sous l'influence des idées de la révolution de Février à Paris, se porta, à la tête d'une colonne d'ouvriers armés, et, à l'aide des révolutionnaires de Bade, pénétra dans la ville, mais fut repoussé par les troupes wurtembergeoises.
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En russe: «Je vous en prie.»
