Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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de mon désir, mais Jane était tellement plus que ça. Elle était à moi. D’apprendre qu’elle voulait rester dans cette ville pour ses études supérieures ne rendait ça que plus officiel.

      Il y avait tellement de choses à apprendre et à savoir sur elle, tellement d’aspects à découvrir et je voulais bien prendre le temps de le faire.

      « Comment ça ? répondit-elle en essuyant sa bouche avec une serviette.

      - C’est une petite école. Tu es une fille intelligente, Jane, et pas que dans mon cours. » Je marquai une pause. « Si tu le voulais, tu pourrais aller dans les meilleures universités de tout le pays. »

      J’observai sa réaction et notai la manière dont ses sourcils s’écartèrent. Elle prit une respiration rapide, la relâcha, et resta silencieuse quelques secondes. Elle avait l’air nerveuse, avec une expression d’inquiétude sur le visage qui faisait se plisser son front. Je n’avais jamais vu cet aspect chez elle – une préoccupation sincère.

      C’était la fille qui savait comment se comporter et semblait ne jamais rencontrer de problème dans sa vie. Elle déambulait dans les couloirs de l’école avec ce sourire radieux et ce déhanchement sensuel. De la voir maintenant – sous un autre jour – ne fit qu’attiser ma curiosité.

      « Je ne suis pas sûre d’y arriver... »

      Je posai une main sur son genou et appuyai légèrement pour l’inciter à continuer. Elle me regarda un instant avant de détourner le regard en penchant la tête.

      « Je ne suis jamais partie de chez moi. Je ne sais pas du tout comment vivre toute seule. »

      Elle s’arrêta une seconde, hésitante. Sa lèvre inférieure ressortit et elle baissa les yeux. Elle avait l’air d’avoir honte.

      Je fronçai instantanément les sourcils. Une Jane honteuse, voilà quelque chose que je ne voulais jamais voir. Ça ne lui allait pas. Elle avait tellement de potentiel pour ce genre de sentiment.

      « Je n’ai jamais travaillé de ma vie. Je ne fais même pas ma propre lessive. Je ne sais pas cuisiner. On a toujours tout fait pour moi, que je le veuille ou non. Bien sûr, mes parents payent toujours pour tout, mais ils ne sont jamais là. » Elle leva les mains en l’air avant de les laisser retomber et de continuer.

      « Je ne sais pas. Tout simplement, je n’ai pas intérêt à partir d’ici. Je suis contente de rester dans cette ville pour l’université.

      - Bien, » dis-je. Elle était à moi et elle n’allait certainement pas aller dans une école à deux fuseaux horaires d’ici. Je ne la retiendrais pas si c’était son rêve, mais ce n’était pas le cas. Ses putains de parents ne lui avaient pas assez donné de confiance en elle pour qu’elle déploie ses ailes. Elle était contente d’aller à l’université, mais ça ne l’excitait pas de voyager trop loin. Pourquoi ça l’intéresserait, puisqu’elle n’avait pas une vie de famille stable et aimante ?

      « Bien ? répéta-t-elle en se mordant la lèvre.

      - Parce que ta chatte m’appartient, tu te souviens ? »

      Elle hocha la tête et baissa les yeux. Le rouge lui allait très bien aux joues.

      « C’est toujours ce que tu veux ? Que je m’occupe de toi ? »

      Elle releva la tête rapidement. « Oui, monsieur. » Son ton était déterminé.

      « C’est bien. »

      Je la regardai profiter de ce compliment.

      « On dirait que j’ai beaucoup de choses à t’apprendre, pas vrai ? »

      Ses joues devinrent plus sombres quand elle comprit que je parlais de baiser. Oui, je lui apprendrai exactement ce que j’aimais et je lui montrerai comment elle l’aimerait, elle aussi.

      « Oui, monsieur, » répéta-t-elle.

      Je passai une boucle de ses cheveux derrière son oreille et dit, « Ça comprend les punitions, Jane. Est-ce que tu es prête à te faire jeter sur mes genoux et à te faire fesser pour retenir une leçon ? Prête à te faire enfoncer un plug anal pour que tu rappelles qui commande ici ? »

      Ses yeux s’écarquillèrent à ces mots. Oui, je mettrais un gros plug dans son cul pour qu’elle se rappelle à qui elle appartenait, si nécessaire. Ou bien, si j’en avais envie. Plus elle comprenait comment les choses allaient être, mieux c’était.

      « Vous me punirez si je fais brûler le dîner ? demanda-t-elle, clairement inquiète.

      - Je te punirai si tu l’as laissé brûler parce que tu étais en train de jouer sur ton portable. »

      Elle acquiesça.

      « Je te punirai si j’apprends que tu envoies des messages en conduisant. Ou si tu n’as pas ton portable quand tu sors. Ou si tu flirtes avec des gamins de l’université. »

      Elle eut un sourire.

      « Des gamins de l’université ? Je ne veux pas d’un gamin. Je vous veux… vous.

      - Tu veux un homme qui sait ce qu’il fait, pas vrai ? »

      Elle opina de la tête et me regarda avec ses grands yeux innocents. « J’aime bien quand vous prenez les choses en main, » admit-elle, avant de baisser les yeux sur ma bite.

      Elle était toujours timide quant à sa sexualité, mais elle parvenait mieux à la cerner maintenant. Elle commençait à me regarder plus souvent dans les yeux et elle était toujours une élève très attentive et à l’écoute, en s’assurant qu’elle entendait et faisait tout ce que je lui disais.

      « Vraiment ? » Elle me répondit avec un hochement de tête, mais c’était plus qu’assez pour moi.

      « Tu aimes quand je te dis quoi faire ? Quand je te dis comment sucer ma bite ?

      - Oui, » murmura-t-elle, et je la regardai fermer ses yeux l’espace d’une seconde.

      « Quand je te punis parce que tu as été une vilaine fille ?

      - Oui.

      - Quand je te récompense pour avoir été une gentille fille ? » Je déposai ma main sur sa cuisse nue et la fit glisser sous la bordure de sa jupe.

      « Hum... » Je la vis prendre une grande inspiration avant de reprendre.

      « Oui, j’adore ça.

      - Est-ce que tu t’es touchée hier soir quand tu étais seule dans ton lit ? Tu as écarté tes cuisses, tu as mis tes doigts dans ton petit trou vierge ? Tu t’es fait jouir ? »

      Elle secoua la tête avec conviction.

      « Alors, tu as vraiment été une bonne fille, à suivre tout ce que j’ai dit. » Je passai un doigt sous son menton et lui relevai la tête jusqu’à ce que nos regards se croisent. « Est-ce que tu sais ce que les bonnes filles méritent ? »

      Ses joues tournèrent rapidement au rouge.

      «

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