Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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dit que je pouvais laisser ma jupe retomber. « Viens. »

      Il me prit par la main et me guida. Sa maison avait l’air d’un vrai foyer. Elle n’était pas aussi grande que la maison de mes parents, qui était plutôt un manoir, mais c’était plus que suffisant pour lui. Dans le salon, il y avait un ordinateur fixe de gamer high-tech et de nombreuses consoles en-dessous de sa télé. Ce n’était pas tous ces gadgets qui me firent me sentir encore plus excitée ou mouillée que je ne l’étais déjà, cependant ; c’était l’ameublement. Je songeais à tous les endroits où on pourrait baiser, depuis le bureau d’ordinateur jusqu’au canapé à trois places, à la table de dîner et au comptoir de cuisine en granit. Mon esprit faisait un marathon et il était le seul homme au monde à pouvoir me satisfaire.

      « Je t’ai promis que je nous ferais à dîner ici. On pourra éviter le bruit et les yeux indiscrets, comme ça.

      - Et les préliminaires… on peut pas faire ça en public, » dus-je ajouter. J’avais été tellement silencieuse jusque-là que je ne voulais pas qu’il pense que je regrette d’être venue. C’était tout ce que je désirais.

      « Oh, Jane... » Il secoua la tête, et un sourire revint sur ses traits. « J’ai tellement de choses à t’apprendre... »

      Je voulais lui poser des questions, mais il se rendit dans la cuisine. À quoi je devais m’attendre, exactement ? On peut faire des préliminaires et baiser en public ? Mentalement, je fis une note de chercher des vidéos pornographiques dans des lieux publics. Je réalisai qu’il y avait des tonnes de choses que je devais apprendre mais, si je devais étudier, je préférais largement l’éducation sexuelle aux maths ou au français.

      L’odeur délicieuse d’une cuisine italienne attira mes sens et je me rendis dans la cuisine pour voir M. Parker retirer délicatement un plat de lasagnes du four.

      « - M. Parker, ça a l’air délicieux.

      - Appelle-moi Gregory, dit-il avec un clin d’œil. Mais n’en parle pas à tes camarades. »

      Mon cœur manqua un battement. Je pouvais l’appeler par son prénom ? Aucune de mes amies ne pouvaient faire ça.

      « Ex-camarades, repris-je avec un sourire de ma part. J’ai eu mon diplôme hier, vous vous rappelez ? »

      Je regardai M. Parker – Gregory – secouer la tête avec un sourire en coin. « Bien sûr. Comment aurais-je pu oublier ce qu’on a fait ? »

      Je sentis une vague de chaleur envahir mon corps, de ma poitrine à ma chatte. Je n’avais pas besoin de lui demander de m’expliquer. On pensait à la même chose. Ce moment dans sa classe était trop agréable pour qu’on l’oublie jamais. J’expirai lourdement ; je n’avais pas besoin de m’inquiéter tant que ça. Il n’avait pas l’air de vouloir me planter là d’aussi tôt.

      « Est-ce que je peux vous aider à faire quelque chose ? » demandai-je.

      Une grande partie de moi espérait qu’il me dise « non ». J’étais quasiment inutile dans une cuisine, puisque mes parents avaient embauché toute une équipe pour s’occuper de la maison, depuis la cuisine jusqu’à la buanderie, en passant par le jardin. Je ne voulais pas y penser, mais je me sentis soudain embarrassée de vivre une vie aussi privilégiée. J’espérais que M. Parker ne penserait pas à moi différemment lorsqu’il réaliserait que j’étais une fille gâtée et que je ne pouvais quasiment rien faire dans une maison.

      « - Je peux m’occuper des boissons.

      - Shh, répondit-il rapidement. Tu es mon invitée. Il y a du pain à l’ail au four. Je l’ai préparé il y a un moment rien que pour nous. Va t’asseoir et mets-toi à l’aise. »

      J’acquiesçai à ces mots.

      « - Tu peux te mettre au salon et te trouver quelque chose à la télé. J’arrive dans une seconde.

      - D’accord. » Je savais bien qu’il fallait l’écouter. Lorsque M. Parker voulait quelque chose, il l’obtenait. Le fait qu’il m’invite chez lui ne faisait pas exception à la règle, maintenant que j’étais sortie de sa classe.

      Quelques minutes plus tard, il me rejoignit avec deux parts de lasagnes et de pain. Mon estomac gargouilla lorsque les arômes me passèrent sous le nez et je sentis l’eau me monter à la bouche.

      Il déposa les assiettes sur la table basse avant de retourner à la cuisine. Lorsque je me retournai pour voir ce qu’il faisait, il revint avec une bouteille de soda et deux verres à la main. Il nous servit à boire avant de s’asseoir confortablement dans le canapé, juste à côté de moi. Nos cuisses se frottaient l’une contre l’autre et je ne pus empêcher mon cœur de sauter un battement, ni mes tétons de se durcir. Il avait cet effet sur moi, tout simplement.

      « Tes parents sont d’accord, pour que tu sortes aussi tard ? » me demanda-t-il soudain.

      J’avais presque dix ans de moins que lui et mes défenses s’activèrent. « J’ai déjà dix-huit ans. »

      Il me sourit, puis laissa son regard s’attarder sur mon corps avant de répondre dans un murmure, « Je sais. »

      Je me calmai avant de reprendre.

      « Ils sont en Europe… depuis une bonne semaine.

      - Hum… C’est bien ce qu’il me semblait. » Je levai un sourcil, et il reprit.

      « Anne et tes autres amies avaient des bouquets de félicitations et toi…. Tu…

      - N’avais rien. Je n’avais rien, » finis-je en le regardant hocher la tête.

      Avant que l’atmosphère ne devienne trop négative, il toussa et donna une autre direction à la conversation.

      « Alors, qu’est-ce que tu prévois pour l’université ? »

      J’ouvris de grands yeux, à la fois parce qu’il était déjà à la moitié de son plat, et aussi parce qu’il me posait des questions. De vraies questions, à mon sujet et pas sur l’état de ma chatte ou si je portais un soutien-gorge.

      Je pensais qu’il n’était intéressé que par coucher avec moi, une vierge, alors pourquoi est-ce qu’on avait une vraie conversation ? Non pas que je m’en plaignais. Vraiment, je ne me plaignais pas. En réalité, ça ne me faisait que l’apprécier davantage. Il voulait vraiment me parler à moi, une fille qui ne connaissait presque rien du monde. Il ne me regardait pas de haut. Pourrait-il être plus parfait ?

      Pendant le reste du dîner, je lui parlai de mes projets d’aller à l’université du coin. Je maintins le contact visuel avec lui tout du long, en réalisant que je ne lassais pas de ces yeux marron caramel.

      Chapitre Cinq

       Gregory

      « Pourquoi tu veux aller à cette université ? » demandai-je. Je la regardai prendre une gorgée de son verre et déglutir et je me souvins de la manière dont elle avait avalé tout mon sperme.

      Je faisais vraiment tout mon possible pour penser avec mon cerveau et pas uniquement avec ma bite, mais c’était presque

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