Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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je ne regardais pas toute la classe. Je ne m’intéressais qu’à elle.

       Ma Jane.

      C’était la fille que toutes les autres détestaient et enviaient et celle que les garçons voulaient baiser. Je serrai ma main en un poing en sentant mon sang commencer à bouillonner. Rien que de penser à des garçons de son âge qui en train de baiser Jane me donnait envie de casser ou de frapper quelque chose. Je m’énervais chaque fois que j’entendais parler d’une fête de lycée, de tous les garçons mignons que les lycéennes rencontraient. Est-ce qu’un abruti avait touché les seins effrontés de Jane ? Est-ce qu’ils avaient ouvert ses cuisses crémeuses pour emplir cette petite chatte serrée ? Est-ce qu’ils s’étaient répandus sur elle dans leur hâte adolescente en la laissant insatisfaite ?

      Un grognement sourd dans ma gorge fit se tourner le professeur de musique vers moi.

      Il y avait tout simplement quelque chose autour d’elle, plus que ce visage mignon et ce corps sexy. Elle était douce et confiante à la fois. Elle était amicale, mais sans jamais laisser personne lui marcher sur les pieds. A la fois dans sa manière d’agir et de paraître, elle paraissait plus vieille, plus mature que ce qu’elle n’était vraiment. C’était péché pour une fille de dix-huit ans d’avoir cette apparence.

      C’était péché pour un professeur de désirer une étudiante, mais elle n’était plus étudiante. Oui, elle était vraiment très jeune, mais elle avait l’âge légal et elle était à moi. Je l’avais su le premier jour où elle s’était assise dans ma classe et que cette petite jupe d’uniforme était remontée le long de ses cuisses pâles. J’avais essayé de bien me comporter, de l’ignorer, mais elle avait commencé à me regarder et ses yeux brûlaient sur ma peau chaque putain de jour. Elle me désirait. Et même si elle était trop jeune, trop innocente pour reconnaître ce qu’elle ressentait, je savais. Je savais et je serais celui qui le lui donnerait.

      C’est à ce moment que j’avais décidé qu’elle serait mienne. Je devais simplement attendre toute l’année, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus mon élève.

      Je m’étais demandé comme je l’approcherais, mais ce jour-là, la semaine dernière, et le petit mot qu’elle avait échangé avec son amie Anne ? Ça avait été… le destin. J’avais voulu me branler toute la semaine à l’idée qu’elle soit impatiente de me donner – à moi ! - sa virginité, mais je m’étais retenu. Je voulais garder jusqu’à ma dernière goutte pour elle. Tout mon sperme serait pour Jane. J’avais tellement hâte de la remplir, de la voir essayer de tout avaler, de le voir glisser le long de son cul et de sa chatte détruite. Je ne gâcherais pas une autre goutte dans un putain de préservatif. Je la prendrai comme ça, sans rien entre nous. Sa chatte vierge ne connaîtrait jamais rien d’autre.

      Putain, j’avais supposé qu’elle était peut-être encore vierge, mais son mot me l’avait confirmé. Elle voulait que je sois son premier, j’allais faire ça pour elle. Être chacun de ses premiers. Je serais le seul à la toucher. Le seul dont la bite ferait ouvrir sa bouche en grand. Le seul dont la bite ouvrirait son joli petit cul. Le seul qui prendrait sa virginité. Sa chatte, son cul, elle était à moi. Chaque partie innocente d’elle.

      C’en était fini de l’attente.

      « Alors, comment ça se passe pour ton examen du barreau ? »

      Merde. J’essayai de ne pas grogner de nouveau, me forçai à repousser mes pensées cochonnes dans les parties les plus profondes de mon cerveau. Je penchai la tête sur le côté et essayai d’arborer mon meilleur sourire. Lise, la professeur de musique de l’école, me regardait en attendant une réponse.

      « C’est dans quelques mois, pas vrai ? » renchérit-t-elle alors, en élargissant son sourire.

      J’acquiesçai et essayai de trouver un autre sujet pour continuer la conversation, mais une tête aux cheveux blonds attira mon attention, au loin. Jane était dans un cercle d’amies, avec Anne et quelques autres élèves. Elles portaient toutes leurs tenues de cérémonie, qui étaient trop longues à mon goût, mais le vent soufflait parfois pour dévoiler leurs jupes à carreaux qui arrivaient au-dessus du genou.

      Merde. Je jurai en moi de nouveau. Ma bite avait officiellement un esprit autonome. Je me décalai légèrement sur le côté. Je ne voulais pas aiguillonner Lise ou qui que ce soit d’autre avec ma bite, et avec Jane je voulais faire plus que ça.

      « Merde, » dis-je tout haut à mon attention, en secouant la tête et en riant. Mes pensées me trahissaient et je savais que c’était tout simplement futile d’essayer de les contrôler.

      « Oh... » La tête de Lise était impayable. Elle avait trois ans de plus que moi, mais agissait comme si elle avait bien plus de trente ans. Pour la décrire simplement, elle marchait comme si elle avait un balai dans le cul et quelqu’un avait besoin de le lui retirer, mais ça n’allait pas être moi.

      « Désolé, m’excusai-je. Je viens de me rappeler, j’ai quelque chose à faire.

      - Oh, quoi donc ? » demanda-t-elle, en posant son regard sur les groupes d’étudiantes et leurs parents qui s’affairaient tout autour.

      La plupart d’entre eux prenaient des photos et s’échangeaient des vœux de bonheur. J’avisai Jane, au loin. Elle brandissait son portable devant elle et prenait des selfies avec ses amies. Je remarquai que c’était la seule de son groupe à ne pas porter un bouquet de roses.

       Où étaient ses parents ? Est-ce qu’ils étaient déjà partis ?

      Ces étudiantes, fortunées et aisées, en avaient beaucoup – des parents absents. Il fallait bien que les parents tirent cet argent de quelque part. Les quarante-huit mille euros de frais de scolarité annuels ne se réglaient pas tout seuls.

      « Désolée, est-ce que je vous incommode ? » demanda Lise, après que je n’eus rien dit pendant deux minutes.

      Oui. « Non, bien sûr que non, répondis-je un peu trop vite. Je veux dire… il n’y a pas grand-chose à dire sur mes études pour le barreau. C’est dans deux mois, alors j’essaye tout simplement d’apprendre le plus de choses possibles. Je vais passer l’été le nez dans les livres. »

       Ou entre les jambes écartées de Jane.

      « Eh bien, je suis sûre que d’enseigner l’éducation civique doit aider. »

      Pas vraiment, mais j’acquiesçai. « C’est vrai. »

      Jane m’aide, me souffla ma conscience, et je réalisai que j’allais devoir partir avant d’avoir une érection massive à montrer au monde entier. « Excusez-moi. »

      Je me retournai sans rien ajouter et retournai au bâtiment principal. Je pris les escaliers qui menaient jusqu’à ma salle de classe pour y attendre.

      Attendre Jane. Pour la faire mienne. Enfin.

      Rien que de penser à elle et au petit mot qu’elle avait échangé avec Anne suffisait à se faire dresser ma bite contre le bord de mon pantalon. Je posai le dos de ma main fermement contre ma bite. Bordel de Dieu, heureusement que le bâtiment était complètement vide. Ce que je voulais faire n’était que pour Jane et moi. Je serais le seul à voir son corps, le seul à entendre ses gémissements. Je la prendrai comme je le voudrais, où je

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