Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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rendait presque impossible la lourde tâche de trouver des garçons qui valaient le coup. On voulait arriver à l’université en étant expérimentées.

      Je ne voulais pas être la dernière vierge de notre groupe, mais je n’avais pas à m’en faire. Je n’avais pas besoin de trouver un garçon à mon goût. Je n’avais pas besoin de prétendre que j’étais amoureuse ou de pourchasser un inconnu dans un centre commercial. Je savais exactement avec qui je voulais me mettre nue.

      Je voulais que M. Parker prenne ma virginité. Je voulais que mon professeur me fasse sauter le bouchon.

      M. Parker. Il n’avait que quelques années de plus que moi et n’était pas maigre et maladroit comme les garçons de mon âge. Non, c’était un homme, un vrai.

      Même si je le voyais tous les jours pour mon cours d’éducation civique américaine, je pense qu’il ne m’avait pas remarquée. Je n’étais qu’une de ses nombreuses élèves. Une jeune fille de plus, dans une mer sans fin de cheveux longs et de gloss cerise. J’existais dans un océan de kaki et de carreaux, l’uniforme ultra-conservateur de l’école. En-dessous, je portais un soutien-gorge en dentelle et le string correspondant chaque jour impair, les jours où j’avais classe avec M. Parker.

      Avant les cours, j’allais aux toilettes pour enlever mon soutien-gorge. J’adorais la manière dont la chemise en coton épais frottait contre mes tétons sensibles et j’espérais qu’il remarquerait ces bouts durs qui désiraient son toucher.

      Il était magnifique et bien fait, avec un cul musclé et des épaules larges qui faisaient tressaillir mon corps innocent. Je ne voulais pas être innocente, pas quand j’étais à côté de lui. Je voulais être vilaine, mais je doutais sincèrement qu’il m’ait remarquée.

      Mais moi, je l’avais remarqué. Chaque centimètre de sa forme bien musclée.

      Oui, c’est à lui que j’allais me donner. Je ne savais pas du tout comment, mais ça allait arriver.

      Il était magnifique, avec des cheveux noirs et bien trop longs pour le règlement d’une école privée. Il portait une cravate pour faire plaisir au directeur, mais le nœud était toujours desserré, comme s’il n’avait pas eu le temps de bien s’habiller. Je passais la plupart de mes cours à fantasmer sur toutes les manières dont il pourrait m’attacher avec cette longue bande de soie et faire de moi une vraie femme.

      « Mesdemoiselles, je sais que c’est le dernier jour de cours avant vos examens. On va passer en revue tout ce que vous avez besoin de savoir pour l’examen final. Les universités regardent quand même vos dernières notes. » Sa voix grave me fit frissonner et je ne pus m’empêcher de fixer mon regard sur les muscles de son cou. Je voulais le goûter, ce qui était étrange, mais je ne pouvais pas m’empêcher de m’imaginer l’embrasser… partout.

      L’examen final ne m’inquiétait pas. C’était le seul cours où j’avais des notes excellentes, le seul cours où je faisais toujours attention. Comment ne pas regarder M. Parker pendant toute l’heure ? Si les autres filles pensaient que je me rinçais l’œil sur notre professeur sexy, pourquoi ça m’inquiéterait ? Elles faisaient la même chose. J’étais incapable de détourner mon regard des muscles tendus de ses avant-bras. Il retroussait les manches de sa chemise pour écrire au tableau et je devais toujours revenir à ce qu’il avait écrit après. Je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer ses mains.

      Même Molly semblait hypnotisée quand il bougeait et j’étais assez sûre qu’elle était lesbienne.

      Il était sexy à ce point. Mais aucune des autres filles ne l’aurait. Non. S’il devait prendre l’une d’entre nous, s’il devait prendre une chatte jeune et vierge, alors ça serait la mienne.

      J’avais passé l’année entière à regarder son cul lorsqu’il marchait dans la classe en faisant cours. J’avais étudié les veines du dos de sa main lorsqu’il écrivait au tableau. J’avais détaillé sa bouche, en me demandant quelle sensation ces lèvres auraient contre les miennes.

      À chaque fin de cours, lorsque la sonnerie retentissait, je quittais la salle avec une culotte mouillée et des tétons durcis.

      Son cours était la meilleure partie de ma journée. Je levais même la main pour répondre à des questions et j’étais fière lorsqu’il souriait devant une bonne réponse. Je voulais lui faire plaisir, ce qui était une autre sensation étrange pour moi. Je n’étais pas du genre à faire plaisir aux gens. Mais pour M. Parker ? Eh bien, je n’étais pas vraiment sûre d’où était la limite, mais je voulais le savoir.

      Avec le petit mot d’Anne dans ma main, je regardai M. Parker depuis ma place, au troisième rang. Il essayait d’avoir l’air sévère, mais il était sûrement aussi prêt que nous pour ses vacances d’été. L’école était petite, une de ces écoles privées pour filles de parents riches qui souhaitaient une éducation protégée pour leurs filles privilégiées. Eh oui, on nous embêtait toujours avec ce stéréotype, que nous étions des gamines gâtées, à qui tout était dû, avec des problèmes psychologiques. L’école m’avait empêchée de rencontrer des garçons de mon âge, selon la volonté de mes parents, mais leur plan avait eu l’effet inverse. Il m’avait mise en face du seul homme que je désirais.

      Oui, je voulais un homme.

      Je ne voulais pas me faire baiser par un garçon qui n’aurait aucune idée de ce qu’il faisait. Je voulais M. Parker.

      Oh oui. Je me réajustai sur ma chaise en essayant d’atténuer la douleur de ma chatte à l’idée qu’il me remplisse. Je voulais qu’il prenne ma virginité, qu’il m’ouvre en grand – sa bite serait grosse – et il le ferait parfaitement.

      Alors qu’il continuait à parler des trois branches du gouvernement américain, sa voix douce et veloutée ne m’inspirait que des pensées charnelles sombres, des fantasmes vigoureux.

      « Baisez-moi, » lui dirai-je, en regardant le bureau juste derrière-lui.

      Oui, le bureau. Je fantasmais presque autant sur ce bureau que sur M. Parker. Je ne serai plus une bonne élève, mais une élève qui aurait été vilaine. Très vilaine.

      Je me pencherai sur son bureau et la jupe à carreaux de mon uniforme cacherait à peine mon cul. Je devrai ouvrir les premiers boutons de ma chemise blanc satiné pour qu’il voit que je ne porte pas de soutien-gorge et mes tétons durciront au contact du bois froid.

      Un frisson parcourra mon dos lorsque ses doigts effleureront la dentelle de ma culotte. Je sentirai la chaleur s’y accumuler et le tissu mouillé collera contre ma peau.

      « Tu as été une vilaine fille, pas vrai ? » dira cette voix veloutée familière. La chaleur de son souffle passera dans mon cou lorsqu’il se penchera au-dessus de moi, dominateur. Je collerai mes jambes l’une contre l’autre pour apaiser la douleur grandissante, mais rien n’y fera. La pression de sa main contre les lèvres de ma chatte m’arrachera un cri.

      « Tu ne portes qu’un string dans mon cours, sans soutien-gorge. » Sa voix sera un mélange de surprise et de malice et je rougirai sûrement lorsqu’il prendra un de mes seins exposés dans sa main.

      Les professeurs n’étaient pas censés agir comme ça, songerai-je, au moment où son autre main s’abattra sur mon cul en un coup violent. Ils n’étaient pas censés réprimander les écolières vilaines sur leur bureau, mais j’agiterai mes hanches parce

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