Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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Oui, Jane… c’est parfait, » murmura-t-il, et ses mains guidaient les mouvements de ma tête, de haut en bas sur sa bite. « Tu es tellement parfaite. »

      Avant que je comprenne ce qu’il se passait, je sentis sa bite tressaillir dans ma bouche et une marée de son sperme m’envahit. C’était salé. Ça avait son goût. Je me figeai instantanément tandis que ma bouche était inondée.

      « Avale-le. »

      Je le fis automatiquement, encore et encore pour tout avaler. Lorsque le flot s’épuisa, je retirai ma tête et pus voir qu’un peu de sperme coulait encore du bout de sa longueur encore dure. Je me hâtai de tout laper et m’assurai que rien ne reste. Quand mon regard se releva pour rencontrer le sien, je pus voir que M. Parker me fixait intensément. Il avait l’air pleinement satisfait.

      « Merde, Jane, commença-t-il. Tu as été fantastique. »

      Agenouillée devant lui, je me sentais petite. Bien que je susse que je l’avais contenté, j’avais peur de ne pas pouvoir être comparée aux autres femmes et à leur expérience.

      « - Vous dites ça juste pour me…

      - Non, c’est faux. » Il secoua la tête, et son regard ne quitta pas le mien un seul instant. « Tu as suivi mes instructions, et… tu as avalé alors que ta bouche était encore autour de ma bite. Vierge ou non, tu es extrêmement rare, Jane. »

      Je ne savais pas comment répondre à ça. Pour une vierge comme moi, ces mots me donnaient l’impression d’avoir gagné les jeux olympiques. J’avais été effrayée et nerveuse tout ce temps. Je n’avais pas voulu le décevoir – je ne le voulais toujours pas, d’ailleurs – et c’était incroyable de savoir que je l’avais satisfait. Je pouvais respirer, maintenant.

      « Et ça, ce n’était qu’une pipe de ta part. » Son visage était un mélange d’exaltation et de confusion.

      « - Je suis sûr que ça sera fantastique, de baiser ta chatte.

      - J’irais chez le docteur dès demain matin, » promis-je.

      J’étais sûre de pouvoir trouver un rendez-vous de dernière minute à une clinique du coin. J’avais dix-huit ans et je n’avais pas besoin de m’en faire, le docteur n’irait pas dire à ma mère que je voulais prendre une injection de contraceptif. Elle s’en ficherait d’ailleurs probablement, de savoir que j’étais sexuellement active. Peut-être même qu’elle serait fière que je fasse attention.

      « J’ai vraiment hâte, » dit-il, avant de prendre un bout de papier du tiroir de son bureau et de griffonner quelque chose dessus. « C’est mon adresse. Retrouve-moi demain soir. Je préparerai le dîner. »

      Je ne pus que hocher la tête, mais au fond de moi, des nuées de papillons s’envolaient dans mon estomac.

      « Mets ton uniforme, mais sans culotte. »

      Un autre hochement de tête.

      « Je vérifierai. »

      Et sur ce, je me levai et me dirigeai vers la porte. « Et, Jane ? » Je tournai la tête pour le regarder, tout comme je l’avais fait ce dernier jour de cours. Cette fois-ci, je savais qu’il me désirait. J’avais un estomac rempli de son sperme pour le prouver.

      « Ne te touche pas. Cette chatte m’appartient. J’ai fait exprès de ne pas te faire jouir. Ne va pas croire qu’une fessée est la seule punition que je peux t’infliger si tu es vilaine. Si tu te fais jouir toute seule, je le saurais. »

      Mes murs intérieurs se contractèrent et je me demandai comment j’allais pouvoir tenir jusqu’au lendemain soir.

      Chapitre Quatre

       Jane

      J’adorai et je détestai la sensation du vent du soir qui frottait contre ma chatte nue, sous ma courte jupe. J’étais la seule personne qui portait encore l’uniforme scolaire. J’avais eu mon diplôme et je n’étais plus une lycéenne. Mais j’étais l’élève de M. Parker, et s’il voulait que je porte cet uniforme de vilaine écolière, je le porterai.

      Tout comme il l’avait ordonné, je ne portais pas de culotte. Dès que je sortis de ma voiture et que je m’approchai de la porte d’entrée, j’eus chaud et froid tout à la fois ; froid à cause de la nuit et pourtant chaud grâce aux pensées qui envahissaient ma tête. Une partie de moi était effrayée. On m’avait tellement répété de ne jamais parler à des inconnus et encore moins de se rendre chez eux. Je secouai la tête à ces pensées.

      M. Parker n’était pas un inconnu. J’avais été dans sa classe pendant toute l’année. Je l’avais sucé la veille. S’il m’avait voulu du mal, il aurait déjà montré ses vraies couleurs. Je refoulai ces pensées négatives au fond de mon cerveau ; je savais que je ne faisais que me faire peur toute seule.

      Quand j’étais passée prendre la piqûre contraceptive ce matin, ça avait été comme une réalisation que tout ça – perdre ma virginité – allait vraiment se passer. J’étais un peu triste quand la gynécologue m’avait dit que je devais attendre sept jours avant d’avoir des rapports sans risque de grossesse. J’avais fait une note mentale de prévenir M. Parker de ce contre-temps. Il pourrait attendre… n’est-ce pas ? Il n’avait pas besoin de coucher avec moi tout de suite, si ? Il n’irait pas chercher quelqu’un d’autre… hein ?!

      Il ouvrit la porte avant que je puisse appuyer sur la sonnette.

      « J’ai entendu ta voiture arriver, » m’expliqua-t-il. Au moins, je savais qu’il était impatient de me voir.

      Il s’effaça sur le côté pour me laisser entrer chez lui. « Tu as intérêt à ne rien porter sous cet uniforme, jeune fille. »

      Rien que le ton grave et sévère de sa voix me fit mouiller.

      Lorsque je me retournai pour lui faire face, il avait fermé la porte et s’était adossé contre, les bras croisés.

      Je compris qu’il attendait que je lui montre.

      Lentement, je levai ma jupe et en maintins le bord au-dessus de ma taille du bout des doigts. Ses yeux s’écarquillèrent à la vue de ma chatte, nue et mouillée pour lui. Je ne savais pas pourquoi il avait l’air aussi surpris, mais il la fixait d’un air à la fois intense et mystérieux que je ne pus m’empêcher de songer à ce moment, juste après la remise des diplômes. Ça avait été tellement bon de le sucer. Je pensais que les femmes faisaient ça pour faire plaisir aux hommes, mais je le ferais n’importe quand sans même qu’il demande. Je m’étais sentie puissante, dans la manière dont je l’avais fait jouir. Une petite vierge comme moi avait réussi à faire tirer un coup à M. Parker.

      Tout ce qu’on avait – j’en voulais tout simplement davantage, de la forme de sa bite, de la sensation qu’elle me procurait dans ma main, mes lèvres, ma gorge, et même de son sperme qui envahissait ma bouche. Son goût.

      « Tu es passée chez le docteur ? »

      Je hochai la tête et commençai à laisser retomber ma jupe, mais mes mains s’immobilisèrent lorsqu’il secoua la tête.

      «

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