Le pacte des vierges. Jessa James

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Le pacte des vierges - Jessa James

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j’en aurais fini avec elle, elle ne serait plus qu’un désastre mouillé dans ma main… ou ma bouche. J’avais hâte d’y être – pouvoir voir son air euphorique quand elle découvrirait ce que ça faisait de se faire lécher.

      Je me mis à genoux sur le tapis devant elle. Je n’hésitai pas à tirer son cul plus proche du bord du canapé avant d’ouvrir ses genoux. Je retins mon souffle lorsque je vis les lèvres de sa chatte rutilantes me provoquer. Je pris une inspiration pour sentir sa douce odeur.

      « Tu es absolument trempée, » grognai-je. Sa crème couvrait même ses cuisses.

      Elle gémit et souleva ses hanches lorsque je passais mes doigts à travers son désir. Je voulais la prendre doucement, presque trop lentement. Je voulais qu’elle me supplie désespérément. Pour ce que j’allais lui donner. Personne d’autre ne lui ferait jamais ressentir ça.

      Je voulais qu’elle gémisse et qu’elle crie aussi fort qu’elle le voulait. Je me foutais totalement que ça réveille mes voisins. Elle avait dix-huit ans. Tout ce qu’on faisait était légal mais, dans ce cas, légal ne voulait pas dire ennuyeux. Je manquai de rire bruyamment à cette pensée. J’avais beaucoup de choses en tête, mais aucune n’était ennuyeuse. Je gardais beaucoup de surprises pour elle.

      J’amenai son excitation à ma bouche et elle me regarda tandis que je nettoyais mes doigts avec ma langue. Elle avait un goût doux et acidulé et l’eau me monta à la bouche. J’en voulais plus.

      Je regardai son trou vierge avec ces lèvres écartées et je voulus arracher mon pantalon pour me plonger en elle. Ce n’était pas encore le moment. Même si j’aurais pu la prendre maintenant, je ne l’aurais pas fait. Il y avait tellement de premières fois dont je devais profiter avec elle avant de prendre sa virginité.

      « Tu aimes ça, » demandai-je avec un sourire en faisant des cercles avec mon pouce sur son clitoris. Je sentis une vague de confiance m’envahir, chaque mouvement que je faisais sur elle lui faisant bouger ses hanches. J’avais hâte d’arriver au final et ma bite me disait d’accélérer et d’en finir.

      Jane écarta encore plus ses jambes. Sa chatte n’était couronnée que d’une fine bande de poils blonds. Elle l’épilait et l’entretenait et je ne pus m’empêcher de songer que chaque seconde passée avec elle m’amenait davantage de surprises.

      Pour une vierge, elle semblait très bien savoir quoi faire ou comment réagir. Mon esprit se rappela instantanément du jour précédent. Elle n’avait jamais vu de bite de sa vie, mais elle avait très bien su commencer sucer la mienne. Mais son air timoré et sa voix douce et à peine audible le montrait – c’était bien une vierge.

      « M. Parker... gémit-elle, les yeux fermés.

      - C’est ça, tu m’appelleras M. Parker quand tu porteras ton uniforme, quand tu seras mon élève, lui dis-je. Je veux te l’entendre dire quand tu me supplieras de faire les choses plus vilaines et plus sales qui nous attendent. »

      Un gémissement puis deux franchirent ses lèvres et sa tête retomba contre le coussin lorsqu’elle arqua son dos.

      « Défais ta chemise et montre-moi tes seins. »

      Sa main vint trouver les petits boutons et les défirent, écartant les pans de la chemise pour montrer ses bouts pointus exposés.

      J’eus un claquement de langue désapprobateur.

      « Sans soutien-gorge, Jane. Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes tétons durs sous ta chemise ? Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes petits seins rebondir quand tu marchais ?

      - Non monsieur, » dit-elle. Je pris un de ses seins et passai mon pouce sur son petit bout. Il remplissait parfaitement la main, sans être trop gros, peut-être un bonnet B… si elle avait porté un soutien-gorge. Ils étaient hauts et pointaient, comme doivent l’être ceux d’une jeune fille.

      Elle hoqueta quand je la pinçai délicatement.

      Parfait. On dirait que ma petite étudiante appréciait un peu de douleur avec son plaisir.

      Je continuai à jouer avec ses seins et baissai ma tête pour poser ma bouche sur elle. Enfin.

      Elle était glissante et douce et je sus que je pourrais manger sa chatte pendant des heures.

      Mais je l’avais laissée trop excitée depuis le jour précédent. Elle avait été fessée, et j’avais joué avec son clitoris avant qu’elle ne suce ma bite. Puis, je l’avais laissée dans cet état. Maintenant, elle était tellement apprêtée qu’un coup de ma langue sur son clitoris la fit partir. Elle se tordit et hurla tandis que ses fluides imprégnait mes lèvres.

      Le son de son orgasme manqua de me faire jouir. Ses cuisses s’étaient appuyées de part et d’autre de ma tête et elles tremblèrent dans son extase. Sa respiration était haletante et je sus que quand elle se touchait, ça n’avait jamais été comme ça.

      Non, elle venait de jouir sur tout mon visage.

      « S’il vous plaît, supplia-t-elle.

      - Qu’y a-t-il, jeune fille ? »

      Elle était étalée sans aucune pudeur sur mon canapé, sa jupe d’uniforme retournée sur sa taille, ses jambes écartées et sa chatte exposée, toute rose et gonflée. Elle gouttait sur le coussin en cuir. Ses seins pointus étaient visibles puisque sa chemise était ouverte et sa peau pâle rutilait de sueur. C’était tout le fantasme de jeune lycéenne que j’avais jamais pu imaginer.

      « Plus, souffla-t-elle.

      - Plus de quoi ? demandai-je. Utilise tes mots et dis tout à ton professeur.

      - Votre bite. S’il vous plaît. Je me sens… je me sens vide. »

      J’avais ardemment désiré entendre ces mots sur ces lèvres. Du bout du doigt, je taquinai son entrée. « Ta chatte est hors limite. Pas de bite dans ce trou. »

      Elle geignit de déception.

      « Je sais que c’est dur, mais c’est un ordre du docteur. J’ai déjà conquis ta bouche. » Je descendis mon doigt et fis un cercle autour du bouton de rose plissé de son cul.

      « Si tu veux ma bite, je prendrai ce trou en suivant. Est-ce qu’un garçon t’a déjà touchée ici ? »

      Elle se raidit, mais sa tête alla d’un côté à l’autre tandis que je faisais des cercles et que j’appuyais contre son trou resserré.

      « - Non.

      - Alors, ça sera la leçon de ce soir. Prendre ma bite dans ton cul.

      - M-mais…

      - Tu portes ton uniforme, jeune fille. Tu vas être une bonne élève Jane, pas vrai ? »

      Elle ouvrit ses yeux et je vis qu’ils étaient flous de passion, mais aussi empreints d’une inquiétude qui ne venait qu’avec l’innocence. Son regard se posa sur son corps, et elle tira sur les pans de sa chemise pour la refermer, bien que ça ne la rende en rien moins érotique.

      Mis à part le fait que de la voir et de la souiller dans son uniforme d’écolière m’excitait

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