Turpiter quidem sacerdotes isli in veteres grœcos malevoli fuerunt, sed integritatis, probitatis, et religionis maximum dedere testimonium (Alcyonius. Medices legatus prior, p. 69, ed. de Mencken. Leipsick. 1707.)
45
Andrès, Orig. propr., etc., cap. 7.
46
Id. ibid.
47
Le cinquième siècle.
48
On appelle ainsi le quatrième, quoique Constantin soit mort en 336, et que Théodose n'ait régné que depuis 379 jusqu'en 394.
49
Chrysostôme vécut jusqu'en 407, treizième année du règne d'Arcadius et d'Honorius; mais il appartient au quatrième siècle.
50
Marius Victorinus Africanus.
51
Confess., liv. VIII, c. 11.
52
Les livres de Inventione rhetor.
53
Regina Rerum, Roma, Regi eloquentiœ.
54
Par Eunapius, Vit. Sophist., c. 8.
55
Julian., Epist. II.
56
Q. Aurelius Symmachus.
57
Voy. Cassiodore, Hist. tripart., liv. 9, c. 23.
58
Prudent. in Symmachum, liv. I.
59
Saturnal. liv. V, c. 1.
60
Tiraboschi, Stor. della Letter. ital., t. II, liv. IV, c. 3.
61
Ils ont été recueillis par Putchius, Hanov. 1605, in-4°.; et par Godefroy, Genève, 1595, 1622, in-4°.
62
Macrobius Ambrosius Aurelius Theodosius.
63
Saturnalium Conviviorum libri VII.
64
Il l'avoue lui-même dans la préface des Saturnales.
65
Marcianus Mineus Felix Capella.
66
Grammaire, dialectique, rhétorique, arithmétique, géométrie, astronomie et musique.
67
Tiraboschi, ub. sup., c. 4.
68
Rufus Festus Avienus.
69
Orbis terrœ descriptio.
70
Ces deux poëmes furent imprimés pour la première fois à Venise, en 1488, in-4º. (V. Fabricius. Bibl. lat.)
71
Ad. X Æneid. v. 388.
72
Claudius Claudianus.
73
Claudius Rutilius Numatianus.
74
Queste opere tutte (del Prudenzio) sono più di zelo religioso ripiene che di artifiziosa ornamenti. (Il Quadrio, t. II, pag. 80.)
75
Publius Optatianus Porphyrius.
76
Andrès, Orig. Progr., etc., c. 7.
77
Andrès, ubi supra.
78
Denina, Vicend. della Letter., liv. I, c. 36.
79
Idem, ibid.
80
Id. ibid., c. 35.
81
Denina, Vicend. della, Letter., liv. I, c. 39.
82
Cyrille et Nestorius.
83
Voy. ces deux mots dans le Dictionnaire des Hérésies.
84
L'un général en 431, où Nestorius fut condamné, déposé et exilé; l'autre particulier, en 450, que l'abbé Pluquet, dans son Dictionnaire, appelle le brigandage d'Ephèse.
85
En 451.
86
Voy. les mots Manès et Manichéens, ub. supr.
87
Voy. ce mot, ub. sup.
88
En 409, selon Muratori, et selon d'autres, 410.
89
En 452.
90
Augustule.
91
476.
92
493.
93
Vic. della Lett., liv. c. 37.
94
Tiraboschi, St. della Lett., ital., tom. III, liv. I, c. 1, où il cite l'Anonyme de Valois. Voyez cet auteur, à la fin de l'histoire d'Ammien Marcellin, édit. de 1693, pag. 512.
95
Il n'est pas sûr que cet Abrégé soit de lui. (Voyez Tirab., t. III, liv. I, c. II. 5.)
96
Voy. Muratori, Antich. Ital. Dissert. XXIII et XXIV.
97
C'est l'architecture qu'on appelle gothique. Muratori (Dissert. 23 et 24) et d'autres auteurs ne veulent point qu'elle appartienne aux Goths; et il n'est pas vraisemblable, en effet, que ces peuples, qui ignoraient presque entièrement les arts, fussent aussi avancés en architecture. Quelques-uns l'attribuent aux Sarrazins; d'autres lui donnent, avec plus de vraisemblance, pour unique origine la dépravation progressive du goût dans les arts. Maffei (Verona Illust., Ire. part., liv. XI) avoue que, sous le règne des Goths, l'architecture conserva autant de grandeur, de magnificence et de solidité qu'elle en avait eu sous les empereurs Romains; il ajoute qu'il y a en Italie beaucoup d'édifices antérieurs à la renaissance des arts, dans lesquels, si l'on en pouvait retrancher les arcs en pointe et l'irrégularité des colonnes et des chapiteaux, non-seulement la construction est très-bonne, mais les ornements même ne manquent ni de grandeur, ni de grâce. Or, ces arcs aigus ou en pointe, et ces colonnes irrégulières, et ces chapiteaux non moins irréguliers, qu'est-ce autre chose que ce qu'on appelle architecture gothique? Mais ce mauvais goût d'architecture remonte-t-il jusqu'au temps des Goths? Cette question a occasioné, en Italie, une longue et bruyante controverse dans le dernier siècle. Voici cependant un passage de Cassiodore qui ne paraît devoir laisser aucun doute. Dans la formule XV du liv. VI de ses Variarum, de Fabricis et Architectis, je lis ces mots: «Quid dicamus columnarum junceam proceritatem? Moles illas sublimissimas fabricarum, quasi quibusdam erectis hastilibus contineri, et substantiœ qualitates concavis canalibus excavatœ, ut magis ipsas œstimes fuisse transfusas, alias ceris indices factum quod metallis durissimis videas expolitum». Cette hauteur et cette ténuité des colonnes qui les fait ressembler à des joncs, junceam proceritatem, ces masses d'édifices si élevées qui paraissent soutenues, sur des piques plantées debout, quasi quibusdam hastilibus contineri, et ces canaux concaves creusés dans le corps même de la pierre, substantiœ qualitates concavis canalibus excavatœ, etc. etc.; tout cela ne peut convenir qu'à l'architecture que l'on