Histoire littéraire d'Italie (3. Pierre Loius Ginguené
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Voyez Vita di Giov. Boccaccio, p. 22, et à la fin de ouvrage, Illustrazione quinta.
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Scrittor. ital., vol. II, part. III, p. 1317.
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1342.
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Gaultier de Brienne.
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1344.
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1350.
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1352.
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1353.
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Giann. Manetti, cité par M. Baldelli, Vita del Boccaccio, p. 127.
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Benvenuto da Imola, Comment. sur Dante, Paradis, c. 22. Ceci confirme ce que j'ai dit de cet abus passé en usage, t. I, p. 113.
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En 1359.
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J'ai déjà dit dans la Vie de Pétrarque, que ce manuscrit, précieux sous tous les rapports, est à la Bibliothèque impériale, n°. 3199.
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Il y resta près de trois ans. En 1363, il partit pour Venise, d'où il passa à Constantinople. À peine y fut-il arrivé, qu'il regretta l'Italie; il y voulut revenir; mais, accueilli par une tempête, dans la mer Adriatique, il fut tué par la foudre. Une riche provision de manuscrits grecs, qu'il apportait à Pétrarque, périt avec lui.
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Il paraît que Léonce n'acheva pas la traduction de l'Odyssée. Lorsque, six ans après, Boccace envoya à Pétrarque une copie qu'il avait faite pour lui, de ces deux traductions, on voit par la réponse de Pétrarque, que celle de l'Odyssée n'était pas finie. (Senil., l. V, ép. i.) Cependant cette traduction existait en entier, ainsi que celle de l'Iliade, dans l'abbaye Florentine, du temps de l'abbé Mehus. (voyez Vit. Ambr. Camald., p. 273); et l'Odyssée seulement, mais aussi toute entière, dans la bibliothèque des Médicis (cod. 45, Plut. 4, 34.) M. Baldelli en cite un passage de vingt-trois vers, dans une note sur le premier des éclaircissements (Illustrazioni) qu'il a mis à la fin de sa Vie de Boccace, p. 264.
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Giannozzo Manetti.
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M. Baldelli, Vita del Bocc., p. 139, note.
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Id. ibid.
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Petrarch., Senil., l. I, ép. 4, tout à la fin.
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Il se nommait Giovacchino Ciani.
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Petrarc. Senil, l. I, ép. 4. C'est à la fin de cette longue lettre, qu'il répète à Boccace l'offre dont il est parlé plus haut, de venir demeurer avec lui. Toute cette histoire est racontée comme miraculeuse, dans la grande collection des Bollandistes, à la date du 29 mai, t. VII, page 228.
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Il lui fallut pour cela des dispenses du pape, parce qu'il était fils naturel. Manni nous apprend (Istoria del Decamerone di Giov. Boccac., Florence, 1742, in-4., p. 14), que Joseph Marie Suarès, camérier secret du pape Urbain VIII, et évêque de Vaison, faisant des recherches dans les archives d'Avignon, vers le milieu du seizième siècle, y trouva ces lettres de dispense, qui ne laissent aucun doute sur l'illégitimité de la naissance de Boccace. M. Baldelli a voulu se procurer une copie de ces lettres; il a écrit, à ce sujet, à M. Guérin, secrétaire de l'athénée de Vaucluse, qui en a fait inutilement la recherche. Si ce titre existait encore au moment de la révolution, M. Guérin croit qu'il aura été détruit ou vendu, et perdu comme tant d'autre. Voyez Vita del Boccac., p. 164, note.
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C'étaient les parasites, les flatteu
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Tiraboschi,
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1333.
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On trouve ces
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1341.
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Voyez
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1342.
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Gaultier de Brienne.
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1344.
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1350.
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1352.
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1353.
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Giann. Manetti, cité par M. Baldelli,
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